
-
Pollution plastique: les pays favorables à un traité ambitieux ont gagné en "force", selon Paris
-
Au Pakistan, la mousson fait plus de 320 morts en 48 heures, les secours s'organisent
-
Contre les "zombies", des experts du feu à la rescousse des pompiers
-
La vigne, un coupe-feu naturel qui s'estompe dans les Corbières
-
Tennis: Gracheva s'arrête en quarts à Cincinnati comme Sabalenka et Gauff, Zverev en demies
-
Au Népal, la culture du cocktail infuse
-
En Indonésie, un concours de culturisme pour sauver les producteurs de tuiles
-
La vague de chaleur se poursuit samedi sur une large partie de la France
-
Trump offre à Poutine un retour spectaculaire sur la scène diplomatique
-
Trump et Poutine se séparent sans dévoiler de plan pour l'Ukraine
-
Serbie: nouveaux heurts entre manifestants anticorruption et police
-
Après plus de deux heures, la réunion entre Trump et Poutine se poursuit
-
Foot: Liverpool lance sa saison de Premier League en battant Bournemouth 4 à 2
-
L1: Marseille se fait surprendre par un Rennes à dix
-
Trump offre à Poutine un retour très chorégraphié sur la scène diplomatique
-
Incendies: un premier mort au Portugal, alerte maximale en Espagne
-
Wall Street clôture sans entrain après des données économiques en demi-teinte
-
Le sommet entre Trump et Poutine en Alaska a commencé avec une poignée de main historique
-
Tennis: Rybakina bat Sabalenka et défiera Swiatek en demi-finale
-
Sur le littoral ivoirien, exhumer ses proches face à la montée des eaux
-
La Bourse de Paris termine en hausse, entre Ukraine et indicateurs aux Etats-Unis
-
Athlétisme: Michael Johnson met son Grand Slam Track sur pause en raison de problèmes financiers
-
Au Pakistan, la mousson fait près de 200 morts en 24 heures
-
Wall Street ouvre en ordre dispersé, digère de nouveaux indicateurs
-
Au Pakistan, la mousson fait plus de 160 morts en 24 heures
-
Enquête ouverte après l'abattage d'un olivier à la mémoire d'Ilan Halimi, indignation unanime
-
Tennis: Térence Atmane, le grand potentiel qui perce à Cincinnati
-
Un olivier rendant hommage à Ilan Halimi abattu, indignation face à "la haine antisémite"
-
MotoGP: chez Yamaha ou ailleurs, Fabio Quartararo veut "regagner"
-
Nuit blanche à Genève, pas de traité plastique et maintenant ?
-
Charles III rappelle le coût des conflits pour les 80 ans de la fin de la guerre dans le Pacifique
-
"Ici c'est l'enfer": travailler devant un four en plein été saoudien
-
Bourse de Paris: des indicateurs et la rencontre Trump-Poutine en ligne de mire
-
Bayrou dénonce "la haine antisémite" qui a "fauché" l'arbre hommage à Ilan Halimi
-
Snoop Dogg, Ryan Reynolds, Ed Sheeran: ces célébrités qui investissent en D2 anglaise
-
Espagne: le Real Madrid en mode reconquête face au Barça de Flick, l'Atlético armé pour lutter
-
Ligue 1/Nice: "Je repars au combat", assure Franck Haise à l'AFP
-
Hong Kong: report des plaidoiries au procès de Jimmy Lai
-
Angleterre: de Cherki à Le Bris, les nouveaux Français de Premier League
-
Angleterre: Liverpool défend sa couronne, après les larmes et les transferts
-
Les dermatologues à fleur de peau sur la question de leurs effectifs
-
Inde: au moins 60 morts dans les inondations, les recherches se poursuivent
-
La première compétition mondiale de robots humanoïdes commence en Chine
-
Le réseau de froid, solution "vertueuse" pour climatiser
-
Ligue 1: la raison et l'ambition pour l'OM, qui débute à Rennes
-
Pas de traité plastique à Genève
-
Ligue 1: Paris et les autres
-
Tennis: Gracheva bat Seidel et passe en quarts à Cincinnati
-
Tennis: "super-Atmane" défiera Sinner en demi-finale à Cincinnati après un nouvel exploit face à Rune
-
Trump et Poutine en Alaska, le moment de vérité

Après Pyongyang, la Corée du Sud lance son premier satellite espion
La Corée du Sud a confirmé samedi que son premier satellite d'observation militaire avait bien été mis en orbite après son transport par une fusée de SpaceX depuis la Californie la veille.
Cette réussite intervient moins de deux semaines après le lancement par Pyongyang de son propre satellite de reconnaissance militaire.
Le satellite de Séoul a été lancé par une fusée Falcon 9 qui a décollé depuis la base californienne de Vandenberg, à 18H19 GMT vendredi (10H19 heure locale, 03H19 samedi heure de Séoul).
Le ministère sud-coréen de la Défense a annoncé dans un communiqué que la séparation entre la fusée et l'appareil est intervenue 11 minutes après le tir et que le satellite a atteint son orbite.
"Nous avons confirmé les communications avec le contrôle au sol".
La mission transportait également d'autres satellites de différents clients. SpaceX a interrompu son direct vidéo peu après le lancement, sans montrer d'images de la cargaison déployée dans l'espace.
Le satellite sud-coréen doit surveiller les activités de la Corée du Nord, dotée de l'arme nucléaire.
L'appareil doit être capable de détecter un objet aussi petit que 30 centimètres, selon Yonhap.
"En considérant sa résolution et sa capacité d'observation de la Terre (...) notre technologie satellitaire se place parmi les cinq premières du monde", a déclaré un responsable du ministère de la Défense sud-coréen, cité par l'agence de presse Yonhap.
La Corée du Sud prévoit de lancer quatre satellites supplémentaires d'ici fin 2025 pour renforcer ses capacités.
- "Surveiller Pyongyang" -
Pour surveiller les activités de Pyongyang, "jusqu'ici, la Corée du Sud s'est beaucoup reposée sur les satellites de reconnaissance des Etats-Unis", a expliqué à l'AFP Choi Gi-il, professeur à l'Université Sangji.
Bien que le pays "a déjà réussi à lancer un satellite militaire de communications, il a pris bien plus longtemps pour un satellite de reconnaissance, à cause de défis technologiques plus élevés", a-t-il ajouté. Mais après le lancement réussi par la Corée du Nord d'un satellite espion, "le gouvernement de Corée du Sud (devait) lui aussi démontrer qu'il (pouvait) le faire".
Depuis le lancement du satellite nord-coréen "Malligyong-1" la semaine dernière, Pyongyang a affirmé avoir pu observer des sites militaires américains et sud-coréens, notamment des bases militaires américaines à Guam dans le Pacifique. Aucune image n'a toutefois été rendue publique.
Samedi, le régime a mis en garde Washington, promettant de mettre hors d'usage les satellites espions américains en cas d'"attaque" contre son propre appareil, qui serait reçue comme une "déclaration de guerre".
"Si les Etats-Unis essaient de violer le territoire légitime d'un Etat souverain", alors Pyongyang "envisagera de prendre des mesures d'autodéfense pour affaiblir ou détruire la viabilité des satellites espions américains", a avertit un porte-parole du ministère nord-coréen des Affaires étrangères.
Toute opération militaire considérée comme "imminente" amènera le pays reclus à "user de sa dissuasion de guerre".
Cette déclaration intervient après qu'un responsable américain a expliqué que Washington disposait de divers "moyens réversibles et irréversibles" pour "priver un adversaire de ses capacités spatiales et les contrer".
La Corée du Nord avait connu deux échecs en mai et en août avant de réussir à mettre en orbite son premier satellite militaire espion.
Séoul a affirmé que la Russie avait aidé techniquement la Corée du Nord pour cette opération.
Les Occidentaux, le Japon et la Corée du Sud avaient dénoncé ce lancement, tout comme le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres.
P.Keller--VB