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Trump attendu en Corée du Sud avant une rencontre à forts enjeux avec Xi Jinping
Donald Trump est attendu en Corée du Sud mercredi pour une visite dominée par sa rencontre prévue le lendemain avec le président chinois Xi Jinping, qui avive l'espoir d'une trêve dans la brutale guerre commerciale qui oppose les deux puissances.
Le président américain, qui a décollé de Tokyo vers 09H50 (00H50 GMT) après une visite de deux jours, doit arriver dans la matinée à Gyeongju (est de la péninsule coréenne), où se tient le sommet de la Coopération économique pour l'Asie-Pacifique (Apec) rassemblant 21 pays de la région.
Cette étape est la troisième de sa tournée asiatique, après la Malaisie pour un sommet de l'Association des nations d'Asie du Sud-Est (Asean) et une visite au Japon où il a rencontré mardi la nouvelle Première ministre Sanae Takaichi. Celle-ci a promis "un nouvel âge d'or" dans leurs relations.
Si les négociateurs de Pékin et Washington assurent s'être entendus sur un "cadre" d'accord, il reste à voir si Donald Trump et Xi Jinping finaliseront effectivement jeudi une trêve dans leur guerre commerciale qui a fait dévisser les marchés et bouleversé les chaînes de production.
Le ministre américain des Finances Scott Bessent avait assuré dimanche que les deux dirigeants valideraient un compromis portant sur les terres rares et un autre sujet sensible, les achats chinois de soja américain.
Côté chinois, le représentant pour le commerce Li Chenggang a fait état d'un "consensus préliminaire".
"Il semble y avoir un décalage entre les positions des deux pays", commente William Yang, analyste à l'International Crisis Group.
"Alors que les Etats-Unis sont impatients de conclure tout accord commercial que Trump pourrait qualifier de victoire, la Chine s'attache à renforcer la confiance, gérer les divergences de longue date et stabiliser les relations commerciales", a-t-il averti.
- "Situation complexe" -
Auparavant, le président américain doit rencontrer mercredi à Gyeongju le président sud-coréen Lee Jae-myung, sa deuxième rencontre avec lui.
Séoul souhaite, à l'instar de Tokyo, des assurances de son allié américain pour sa défense face à la menace de la Corée du Nord.
Mais les discussions porteront également sur le commerce, alors que Séoul peine à conclure un compromis commercial avec Washington.
En juillet, Donald Trump avait annoncé avoir accepté de réduire les taxes douanières sur les produits sud-coréens à 15% en échange de l'engagement de Séoul à investir 350 milliards de dollars aux Etats-Unis.
Mais les surtaxes sur l'automobile persistent et les modalités de ces investissements restent âprement discutées. L'arrestation de centaines de travailleurs sud-coréens par la police de l'immigration américaine a aussi tendu les relations.
Scott Bessent a admis lundi qu'il restait "de nombreux détails à régler" pour résoudre une situation "complexe".
Le président américain sera par ailleurs confronté à son arrivée à plusieurs manifestations anti-Trump condamnant ses "exigences prédatrices d'investissements".
- Rencontre avec Kim Jong Un ? -
Une rencontre du président américain avec le dirigeant nord-coréen Kim Jong Un à l'issue du sommet reste possible, même si elle ne figure pas au programme officiel de son voyage.
Donald Trump a déclaré qu'il serait "ravi de rencontrer" à nouveau Kim Jong Un. Pyongyang n'a pas répondu publiquement à l'invitation mais a affirmé que Kim gardait un "bon souvenir" de son homologue américain.
La dernière rencontre des deux dirigeants remonte à juin 2019 à Panmunjom, dans la zone démilitarisée (DMZ), cette frontière de la guerre froide divisant la péninsule coréenne depuis des décennies.
Mais les relations entre Pyongyang et Washington sont au point mort depuis l'échec de ce sommet, en raison de désaccords sur l'allègement des sanctions américaines et l'avancement du programme nucléaire de Pyongyang.
Kim s'est aussi déclaré ouvert à des négociations si les Etats-Unis abandonnaient leur exigence "illusoire" de voir Pyongyang renoncer aux armes nucléaires.
"La balle est dans le camp de Kim Jong Un", a indiqué Chad O'Carroll, fondateur du site spécialisé NK News, à l'AFP. "Trump a clairement indiqué qu'il voulait le rencontrer."
Le dirigeant américain fait cependant face à un Kim Jong Un plus enhardi qu'en 2019, fort du soutien crucial de la Russie après l'envoi de soldats nord-coréens partis combattre en Ukraine aux côtés de Moscou. En guise de provocation et dans le but de montrer sa puissance, la Corée du Nord a d'ailleurs procédé mardi à un essai de missiles de croisière mer-sol au large de sa côte occidentale.
"La Corée du Nord a le temps pour elle et n'est plus aussi isolée qu'avant", indique à l'AFP Hong Min, analyste senior à l'Institut coréen pour l'unification nationale.
"Un événement-surprise pour démontrer une complicité personnelle est possible, mais une négociation avec des résultats tangibles, comme des pourparlers sur la dénucléarisation, n'aura pas lieu", tranche-t-il.
bur-oho-lgo-jug/ep/jnd
B.Baumann--VB