
-
Trump annonce que l'Iran et Israël ont accepté un cessez-le-feu
-
L'héritage de la reine égyptienne Hatchepsout n'a pas été détruit en raison de son genre (étude)
-
Amazon investit massivement au Royaume-Uni, bol d'air pour le gouvernement
-
Guerre Iran-Israël: Trump face au danger d'une implication à long terme
-
Mondial des clubs: l'Atlético Madrid éliminé malgré un but victorieux de Griezmann contre Botafogo
-
Sur les terres brûlées de Gironde, les premiers signes du retour de la nature
-
Mondial des clubs: le PSG à petites foulées vers les 8e de finale
-
Mondial des clubs: Kvara a eu bon dos de marquer, Doué de s'activer, Paris a besoin de Dembélé
-
L'Iran attaque une base américaine au Qatar, Trump appelle à la "paix"
-
Wall Street profite de la chute des prix du pétrole
-
Zelensky et Starmer vont renforcer leur coopération militaire pour produire des drones
-
Bluff et dernière minute: la prise de décision de Trump sur l'Iran
-
Le métro de Tel-Aviv, refuge ultime loin des "boums" des missiles iraniens
-
Calme étrange à Téhéran, sous les frappes israéliennes
-
Attentat à Damas: les autorités annoncent plusieurs arrestations
-
L'Iran annonce avoir attaqué une base américaine au Qatar, qui dit avoir intercepté les tirs
-
"La fin du régime est proche", estime Reza Pahlavi, figure de l'opposition iranienne
-
NBA: Haliburton nouvelle victime d'une rupture d'un tendon d'Achille
-
"Jusqu'au dernier": au Japon, des chercheurs d'os sur les traces des morts de la Seconde Guerre mondiale
-
Le Royaume-Uni lance une enquête nationale sur les maternités après de nombreuses défaillances
-
Les Etats-Unis frappés par leur première vague de chaleur "extrême" de l'année
-
Londres va interdire le groupe Palestine Action en vertu de sa loi antiterroriste
-
Une mosaïque antique refait surface sur les hauteurs d'Alès
-
Moratoire éolien et solaire: le ministre de l'Energie réaffirme son "soutien indéfectible" à la filière des renouvelables
-
La Bourse de Paris recule modérément face au conflit au Moyen-Orient
-
Des avions français abattent des ballons d'exercice à très haute altitude
-
Le Livret A se reprend en mai, nette baisse de taux en vue cet été
-
Des chercheurs ont produit du paracétamol à partir de déchets plastiques, selon une étude
-
Mondial des clubs: Paris vise une une place en 8e, d’autres grands clubs déjà qualifiés
-
Macron entame une visite en Norvège placée sous le signe de la défense
-
Intoxications à E. coli: Saint-Quentin entre "peur", "choc" et "tristesse"
-
Le détroit d'Ormuz, passage stratégique sous haute tension
-
Grèce: l'île de Chios, en proie à des incendies, placée en état d'urgence
-
Ukraine: une nouvelle attaque russe fait dix morts à Kiev et dans sa région
-
Concurrence: l'UE autorise le rachat du MotoGP par Liberty Media, détenteur de la F1
-
Un astéroïde s'écrasant sur la Lune pourrait endommager des satellites, selon une étude
-
Fusillade mortelle à un mariage dans le Luberon: deux gardes à vue et des révélations sur le mari
-
Colère en Slovaquie avant la venue du rappeur Kanye West cet été
-
Cognac: les négociations avec les autorités chinoises "en bonne voie", selon un ministre français
-
Les Jeux de Paris ont coûté près de six milliards d'euros d'argent public, selon la Cour des comptes
-
Le chef pâtissier François Perret quittera le Ritz fin août
-
Préavis de grève de contrôleurs aériens français juste avant les vacances d'été
-
Paris: coupure électrique au palais de justice, attribuée aux "fortes chaleurs"
-
Canicule: le Rhône et l'Isère toujours en vigilance orange mardi
-
Wall Street ne panique pas après les frappes américaines en Iran
-
L1: Paul Pogba proche de s'engager avec Monaco (médias)
-
Ukraine: une nouvelle attaque russe fait huit morts à Kiev et dans sa région
-
La patronat prend la parole au dernier jour du "conclave" des retraites
-
Nouvelles menaces de l'Iran contre les Etats-Unis, raids israéliens intenses à Téhéran
-
Stellantis: Antonio Filosa prend ses fonctions, départ de Maxime Picat

Dernière ligne droite à l'OMS pour l'Accord sur les pandémies
Après plus de trois ans de tractations, les Etats membres de l'Organisation mondiale de la santé espèrent mardi mettre la dernière main à l'Accord sur les pandémies après avoir trouvé un arrangement "de principe" la semaine dernière.
Cinq ans après l'arrivée du Covid-19, qui a fait des millions de morts et dévasté l'économie mondiale, le monde, bien que mieux préparé, est loin d'être prêt à affronter une autre pandémie, selon l'OMS et les experts.
Face à ce constat, l'OMS espère que ses pays membres parviendront enfin à entériner l'accord international sur les pandémies, alors que les négociations avaient déjà été prolongées en juin pour une période d'un an au maximum.
Le 13ème - et a priori dernier - cycle de négociations a débuté le 7 avril à Genève, dans un contexte de grave crise du multilatéralisme et du système de santé mondial, provoqué par les coupes drastiques dans l'aide internationale américaine décidée par le président Donald Trump, alors que les Etats-Unis étaient de très loin le principal donateur humanitaire.
Ils étaient aussi absents des négociations, le président américain ayant décidé qu'ils quittaient cette agence spécialisée onusienne.
- Accord de principe -
Samedi matin, après cinq jours et une nuit entière de pourparlers, Anne-Claire Amprou, co-présidente de l'organe de négociation et ambassadrice de France pour la santé mondiale, a annoncé "un accord de principe", en attendant l'accord définitif des capitales.
Les délégués doivent se retrouver mardi toute la journée et à huis-clos au siège de l'OMS à Genève afin de "toiletter" une dernière fois le texte, à moins d'une opposition de dernière minute.
"Un accord sur la pandémie est à portée de main. Après une semaine de négociations très intenses, y compris une nuit blanche, les États membres de l'OMS sont plus près que jamais d'y parvenir", a commenté Catharina Boehme, sous-directrice générale chargée des relations extérieures et de la gouvernance à l'OMS, sur son compte Linkedin.
"Un accord sur les pandémies donnera au monde de meilleurs outils pour prévenir les prochaines pandémies, s'y préparer et y répondre", a-t-elle ajouté.
- Technologies et sanctions -
S'il est validé mardi sans accroc, le texte devra encore être adopté lors de l'Assemblée mondiale de la santé, en mai à Genève, par tous les pays membres de l'OMS.
Samedi, le président français Emmanuel Macron n'a pas attendu pour se réjouir sur X. "Avec l'accord de principe pour un traité pandémie, la communauté internationale va se doter d'un nouveau système pour mieux nous protéger. Plus rapide, plus efficace, plus solidaire et plus résilient", a-t-il écrit.
L'un des principaux points de contestation vendredi a été l'article 11 de ce texte d'une trentaine de pages, qui définit le transfert de technologies pour la production de produits de santé liés aux pandémies, en particulier au profit des pays en développement, ont indiqué plusieurs sources à l'AFP.
Le sujet avait été au cœur des nombreux griefs des pays les plus démunis lors de la pandémie de Covid-19, quand ils voyaient les pays riches s'accaparer les doses de vaccin et autres tests.
Plusieurs pays, où l'industrie pharmaceutique pèse lourd dans l'économie, sont opposés à l'idée d'obligation de transfert et insistaient sur son caractère volontaire.
Par ailleurs, "il restait à régler la question de la formulation relative aux sanctions" internationales, a indiqué à l'AFP Thiru Balasubramaniam, de l'ONG Knowledge Ecology International (KEI), qui suit les négociations depuis le début.
Cette partie du texte n'était en effet toujours pas surligné en vert - la couleur utilisée par les négociateurs pour indiquer qu'il y un accord - dans la version publiée samedi.
Le texte prévoit l'établissement d'un réseau mondial de chaînes d'approvisionnement et de logistique (le réseau GSCL), pour élargir l'accès aux produits de santé liés aux pandémies, tels que les vaccins, les traitements et les tests, ainsi que dans les situations de crise humanitaire.
Les pays n'ont en revanche pas encore réussi à s'entendre, dans l'article 13, sur la question d'un accès sans entrave aux produits de santé hors contexte humanitaire ou pandémique, ce qui permettrait à des pays sous sanctions internationales d'avoir un accès élargi à ces produits, tels que les vaccins, traitements et tests.
T.Zimmermann--VB