
-
Accueil royal somptueux à Windsor pour Trump en visite d'Etat
-
Huis clos singulier à la Fed, prête à baisser ses taux pour la première fois de l'année
-
Wall Street reste calme, les yeux tournés vers la Fed
-
JO-2026: le CIO "impressionné" par la piste de bobsleigh de Cortina
-
"Alpha Scramble" : des Rafale français en Pologne, sentinelles de l'Otan face aux drones russes
-
Trump accueilli par le roi à Windsor au premier jour de sa visite d'Etat au Royaume-Uni
-
Népal: à la prison de Katmandou, les évadés d'un jour regagnent leur cellule
-
Mondial de volley: pour les Bleus, le rebond ou la désillusion
-
Greffe de barbe, botox sous burqa: à Kaboul, la chirurgie esthétique en vogue
-
La Bourse de Paris en timide hausse avant la Fed
-
C1: Liverpool en quête d'une nouvelle étoile avec son armée de recrues
-
Ligue des champions: un PSG amoindri par les blessures entame la défense de son titre
-
Offensive sur Gaza-ville : Israël ouvre un nouvel axe pour accélérer la fuite des habitants
-
Tabac, alcool, cannabis: les ados sont de moins en moins accro
-
Transports, éducation, fonction publique: à quoi s'attendre pour la grève du 18 septembre
-
Des milliers de morts cet été en Europe à cause du changement climatique, avancent des chercheurs
-
Après le suspens autour de deux postes de gouverneurs, la Fed en passe de baisser ses taux
-
Pompe exceptionnelle pour la deuxième visite d'Etat de Trump au Royaume-Uni
-
Des socialistes au RN, Lecornu reçoit ses opposants avant une grande journée d'action
-
Brésil: Bolsonaro doit passer la nuit à l'hôpital après un malaise
-
L'assassin présumé de Charlie Kirk comparaît pour la première fois, la peine de mort requise
-
Pour "un futur meilleur", des jeunes défient Trump au tribunal
-
Ligue des champions: Mbappé et le Real font craquer l'OM, match fou entre la Juve et Dortmund
-
Ligue des champions: les exploits de Rulli n'auront pas suffi à l'OM face au Real
-
Ligue des champions: Vlahovic offre à la Juventus un improbable nul contre Dortmund
-
Ligue des champions: Mbappé finit par faire plier l'OM
-
YouTube entre dans une nouvelle ère d'IA, avec un arsenal de nouveaux outils
-
Brésil: Bolsonaro admis à l'hôpital après un "malaise"
-
Wall Street en retrait avant la décision de la Fed
-
L'Allemagne, laboratoire européen des applis de santé remboursées
-
La peine de mort sera requise contre l'assassin présumé de Charlie Kirk
-
"Nous avons un accord" pour TikTok, assure Donald Trump, qui prolonge le délai avant l'interdiction
-
Qualité de l'air dans le métro à Paris: l'enquête visant la RATP classée
-
Les objets de la saga Downton Abbey s'envolent aux enchères
-
Le Pendjab, grenier à blé de l'Inde, dévasté par les inondations
-
Mort de Robert Redford, géant du cinéma et incarnation d'une Amérique progressiste
-
Le chanteur Slimane condamné à 10.000 euros d'amende pour harcèlement
-
Pérou: 1.400 touristes évacués du Machu Picchu en raison d'une manifestation
-
Equateur: état d'urgence face aux blocages routiers
-
Nestlé annonce la démission de Paul Bulcke, président du conseil d'administration
-
Afrique du Sud: audience à la Cour constitutionnelle dans une affaire visant Shell
-
La reine Camilla, souffrante, absente des funérailles de la duchesse de Kent
-
Sous le feu des critiques, le directeur du FBI, Kash Patel, se défend pied à pied devant le Sénat
-
Un fidèle de Trump et une gouverneure réprouvée par l'exécutif siègent à la Fed
-
La Bourse de Paris termine en baisse avant la Fed
-
"Nous avons un accord" pour TikTok, assure Donald Trump
-
L'assassin présumé de Charlie Kirk va être inculpé
-
Création de vidéos, édition, YouTube accélère sur l'IA
-
Alertes sur le "mal-être des éleveurs", réunis pour leur salon à Rennes
-
Trump attaque le New York Times en diffamation pour 15 milliards de dollars

Une étude établit un lien entre bisexualité et certains éléments génétiques
Des chercheurs ont identifié pour la première fois des variations génétiques spécifiquement liées à la bisexualité, tout en rappelant que les facteurs non génétiques prévalaient toujours dans la détermination de l'orientation sexuelle.
Cette étude, publiée mercredi dans la revue Science Advances, cherche à apporter un nouvel élément de réponse à la question biologique visant à comprendre pourquoi la sélection naturelle n'a pas progressivement écarté les éléments génétiques favorisant l'homosexualité, qui mène à une moindre descendance.
Les chercheurs ont trouvé que les éléments génétiques liés à la bisexualité, plus spécifiquement, sont aussi liées à une attitude plus favorable à la prise de risque et à une tendance à avoir davantage d'enfants.
L'étude fait notamment suite à celle majeure de 2019 concluant que l'homosexualité, si elle n'est pas définie par un seul gène, s'explique à la fois par de multiples régions du génome et, comme tout caractère humain complexe, par d'insaisissables facteurs non génétiques.
"Nous avons réalisé qu'auparavant, les gens rassemblaient sous une même catégorie tous les comportements homosexuels, alors qu'il s'agit d'un large éventail", a dit à l'AFP Jianzhi Zhang, co-auteur principal de l'étude, pour expliquer le but de ces recherches.
Elles se sont basées sur la banque de données britannique UK Biobank, qui inclut plus de 450.000 personnes d'origine européenne.
En croisant leurs données génétiques à leurs réponses à des questionnaires, les auteurs ont conclu que les signatures génétiques liées à l'homosexualité et à la bisexualité étaient en réalité distinctes.
- "Persistance historique" -
Les marqueurs génétiques liés à la bisexualité, ont-ils déterminé, sont également liés chez les porteurs hommes à un goût prononcé pour le risque, ce qui semble favoriser des rapports sexuels non protégés, car ce même marqueur génétique est aussi lié à un plus grand nombre d'enfants.
Les résultats de l'étude "suggèrent" ainsi que ces marqueurs génétiques (des allèles) "représentent probablement un avantage pour la reproduction, ce qui pourrait expliquer leur persistance historique et leur maintenance future" au sein de la sélection naturelle, ont écrit les auteurs.
Cela s'explique par le fait qu'un même gène peut porter plusieurs caractéristiques différentes. "Ici, nous parlons de trois traits: nombre d'enfants, prise de risque, et comportement bisexuel: ils partagent tous de (mêmes) éléments génétiques", explique Jianzhi Zhang.
A l'inverse, les marqueurs génétiques liés à l'homosexualité chez les hommes disant ne pas avoir eu de relation homosexuelle sont corrélés à un nombre d'enfants plus faible, suggérant ainsi une possible disparition progressive de ces caractéristiques.
Les données de UK Biobank montrent cependant la croissance, depuis des décennies, du nombre de personnes se déclarant bisexuelles ou homosexuelles, sans doute en raison d'une plus grande ouverture des sociétés modernes à ces questions.
Les auteurs estiment ainsi que la bisexualité d'un individu est déterminée à 40% par des facteurs génétiques et à 60% par l'environnement.
"Nous voulons insister sur le fait que nos résultats participent surtout à mieux comprendre la diversité et la richesse de la sexualité humaine", ont écrit les auteurs. "Ils ne sont, d'aucune manière, fait pour suggérer ou soutenir quelque discrimination basée sur la sexualité".
E.Gasser--VB