
-
C1: le PSG espère le retour d'Ousmane Dembélé pour faire mal à Arsenal
-
Le monde du cinéma sonné par les droits de douane proposés par Trump
-
Wall Street commence la semaine dans le rouge, en proie à des prises de bénéfices
-
Batailles de soutanes: qui habillera le nouveau pape?
-
Le FC Barcelone a une semaine pour écrire l'histoire
-
Les Britanniques célèbrent avec la famille royale les 80 ans de la fin de la Seconde guerre mondiale
-
C1: Le Paris SG à un pas de la finale, suspense total entre l'Inter et Barcelone
-
Indonésie: le clou de girofle aussi victime du changement climatique
-
Une journaliste russe critique de l'invasion de l'Ukraine se réfugie en France
-
Champions Cup: Bordeaux-Bègles en a fini avec les complexes
-
Israël approuve un plan prévoyant la "conquête" de la bande de Gaza
-
Cyclisme: le champion de France Paul Lapeira de retour
-
Allemagne : l'AfD contre-attaque après son classement comme parti "extrémiste"
-
Souverainisme trumpien ou ancrage européen : les Roumains divisés à la présidentielle
-
Les Britanniques célèbrent dans l'émotion les 80 ans de la fin de la Seconde guerre mondiale
-
Modération de contenus pour Meta: plus de 2.000 postes supprimés en Espagne
-
L'Eglise retient son souffle avant le début d'un conclave très ouvert
-
Tensions Inde-Pakistan: Islamabad teste un 2e missile, médiation iranienne
-
Une journaliste russe critique de l'invasion de l'Ukraine exfiltrée en France par RSF
-
L'UE va investir 500 millions d'euros pour attirer les chercheurs
-
Les Britanniques célèbrent en fanfare les 80 ans de la fin de la dernière guerre mondiale
-
Ces cardinaux en vue au conclave qui élira le prochain pape
-
Nouvelles frappes américaines au Yémen, 16 blessés selon les Houthis
-
Grève SNCF: le trafic francilien "fortement perturbé" sur certaines lignes
-
L’Indonésie suspend à son tour la crypto-monnaie Worldcoin
-
Donald Trump annonce des "droits de douane de 100%" sur les films produits à l'étranger
-
La Bourse de Paris marque une pause avant la réunion de la Fed
-
Boris Pistorius, le populaire ministre chargé de réarmer l'Allemagne
-
Grève SNCF: le trafic francilien "fortement perturbé" lundi sur certaines lignes
-
Kim Kardashian prête à "affronter" ses agresseurs, selon ses avocats
-
Début du procès pour trafic sexuel du magnat du hip-hop P. Diddy
-
Dans les forêts de l'Inde, les derniers feux d'une insurrection cinquantenaire
-
Trump ordonne de rouvrir l'emblématique prison d'Alcatraz
-
Flèches contre tracteurs: la bataille silencieuse dans l'Amazonie péruvienne
-
Brésil: un attentat déjoué lors du concert de Lady Gaga
-
Les Britanniques célèbrent les derniers vétérans de la Seconde Guerre mondiale
-
Jugement attendu dans le procès pour cyberharcèlement de Thomas Jolly
-
Macron et von der Leyen appellent les chercheurs étrangers à choisir l'Europe
-
François Bayrou à Marseille pour engager une réflexion sur le financement des transports de demain
-
F1: McLaren intouchable à Miami, nouveau succès pour Piastri
-
Roumanie: l'extrême droite domine le premier tour de la présidentielle
-
Ligue 1: Marseille rate une occasion mais garde la main, Saint-Etienne s'enfonce
-
Tennis: vainqueur à Madrid, l'éternel second Ruud brille enfin
-
Roumanie: le candidat d'extrême droite en tête du premier tour de la présidentielle
-
Cryptomonnaies: un homme libéré deux jours après son enlèvement contre rançon, sept gardes à vue
-
Angleterre: Chelsea s'offre le champion Liverpool
-
Allemagne: le Bayern achève avec succès son opération reconquête
-
Trump "ne sait pas" s'il doit respecter la Constitution
-
Allemagne: Harry Kane brise enfin la malédiction avec le Bayern
-
Champions Cup: un Bielle-Biarrey virevoltant a fait plier Toulouse

Médecins libéraux: Rousseau espère relancer les négociations d'ici au 1er novembre
Le ministre de la Santé Aurélien Rousseau a affiché mardi sa volonté de relancer rapidement de nouvelles négociations tarifaires avec les médecins libéraux, toujours remontés contre la faiblesse de la revalorisation de 1,5 euro qui leur sera accordée au 1er novembre.
Cette hausse a minima - qui portera la consultation à 26,50 euros pour les généralistes et 31,50 euros pour les spécialistes, hors dépassements d'honoraires - avait été décidée au printemps dernier après l'échec de précédentes négociations avec les syndicats de médecins.
Il ne devrait y avoir "aucune ambiguïté" sur le fait que ce nouveau tarif "n'est qu'un passage, pas un point d'arrivée", a observé mardi le ministre lors d'une rencontre à Paris avec les Libéraux de santé, une coalition de syndicats de professionnels de santé libéraux.
Le 1er novembre, "je souhaiterais qu'on le traverse lancés (...) dans une dynamique de négociations" vers une nouvelle tarification, a-t-il développé.
Lors de la précédente négociation, la Caisse nationale d'assurance maladie (Cnam) avait proposé au départ une revalorisation supérieure - 30 euros pour les généralistes - mais elle l'assortissait de conditions visant notamment à augmenter le nombre de patients par médecins, qui ont été jugées inacceptables par les syndicats.
La colère gronde aussi chez les médecins face à la proposition de loi du député (Horizons) Frédéric Valletoux visant à "améliorer l'accès aux soins par l'engagement territorial des professionnels".
Beaucoup de soignants redoutent que ce texte, actuellement en discussion au Parlement, ne porte en germe de nouvelles obligations pour les praticiens libéraux en matière de "permanence des soins" dans les territoires, c'est-à-dire notamment de gardes.
Tout l'été, les médecins ont aussi crié leur "indignation" face à la large campagne de contrôles de l'Assurance maladie sur les arrêts maladie. Plusieurs syndicats - dont le principal syndicat de généralistes, MG France - ont déposé un préavis de grève pour le 13 octobre.
- "Proposer des choses nouvelles" -
Les discussions avec les médecins figurent parmi les "plus compliquées dans l'histoire des conventions" entre les médecins et la "Sécu", du fait des contraintes qui pèsent sur le système de santé, a observé M. Rousseau.
Seul le "système conventionnel", qui suppose une discussion avec les représentants des médecins, est susceptible de résoudre les difficultés comme les pénuries de soignants ou le vieillissement de la population, a fait valoir le ministre. Mais en cas d'échec, le parlement devrait reprendre la main.
Le docteur Franck Devulder, président du syndicat de médecins CSMF qui fait partie de Libéraux de Santé, s'est réjoui du volontarisme affiché par le ministre.
Mais il refusera comme l'hiver dernier tout principe de "donnant-donnant". "Il faut remettre à niveau le tarif des consultations", et cette revalorisation "ne doit pas être soumise à des conditions particulières", a-t-il dit en marge des débats.
Le passage à 30 euros que revendiquent les généralistes, "ça ne comble même pas l'inflation entre 2017 et 2023", a-t-il indiqué.
"Il faudra être imaginatif et proposer de part et d'autres des choses nouvelles", a estimé de son côté le directeur général de l'Assurance maladie, Thomas Fatôme, "convaincu" que les thématiques de "la qualité et de la pertinence des soins" devraient "prendre davantage de place dans les discussions".
Interrogée plus tard par les professionnels sur le futur budget de la Sécurité sociale, la ministre des professions de Santé Agnès Firmin le Bodo a souligné que le budget alloué à la santé avait "augmenté de plus de cinquante milliards d'euros" entre 2017 et aujourd'hui.
"Les médecins disent à leur échelle que un 1,5 euro (de revalorisation) c'est insultant (...) mais à l'échelle de ce que ça représente pour le budget de l'État c'est 800 millions" d'euros, a-t-elle fait valoir.
Il faut à la fois préserver le "système de sécurité sociale" et "trouver pour chacune de nos professions le juste équilibre pour la bonne rémunération", a-t-elle dit, ce qui "n'est pas simple".
R.Fischer--VB