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Premières discussions directes entre le Liban et Israël pour réduire la tension
Des responsables civils libanais et israélien participent mercredi à une réunion du mécanisme de surveillance du cessez-le-feu dans le sud du Liban, premières discussions directes depuis plus de 40 ans entre les deux pays toujours en état de guerre.
Cette réunion intervient alors qu'Israël menace d'une escalade au Liban, où il continue de viser le Hezbollah malgré le cessez-le-feu en cours depuis un an, accusant la formation pro-iranienne de se réarmer.
Israël a annoncé mercredi l'envoi d'un émissaire pour une rencontre avec des responsables au Liban, présentant cela comme une "première tentative pour établir une base de relations et de coopération économique" entre les deux pays ennemis depuis des décennies.
La présidence libanaise a pour sa part annoncé mercredi avoir nommé un ancien diplomate à la tête de la délégation libanaise aux réunions du mécanisme et indiqué qu'Israël avait fait de même.
Le comité de surveillance du cessez-le-feu est réuni mercredi au siège des forces de l'ONU à Naqoura, localité libanaise frontalière d'Israël, a indiqué à l'AFP une source proche des participants.
Elle a précisé que les délégations du Liban et d'Israël y sont dirigées par des civils, et que l'émissaire américaine pour le Proche-Orient Morgan Ortagus participe à la réunion.
- Désarmement "crucial" -
Des militaires représentaient jusqu'à présent le Liban et Israël aux réunions de cet organisme dirigé par les Etats-Unis et qui comprend également la France et l'ONU.
La délégation libanaise évitait tout contact direct avec la partie israélienne, selon une source diplomatique qui a requis l'anonymat.
La rencontre intervient au lendemain de réunions de Mme Ortagus avec des responsables israéliens, dont le ministre des Affaires étrangères, Gideon Saar, qui a affirmé sur X que "le désarmement du Hezbollah est crucial pour l'avenir du Liban et la sécurité d'Israël".
L'émissaire américaine est par la suite attendue au Liban.
En novembre, l'émissaire américain Tom Barrack avait estimé que des négociations directes entre le Liban et Israël pourraient être la clé pour réduire la tension.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu "a chargé le directeur par intérim du Conseil de sécurité nationale d'envoyer un représentant de sa part à une réunion avec des responsables gouvernementaux et économiques au Liban", a indiqué un communiqué de son bureau sans plus de précisions.
Peu auparavant, la porte-parole de la présidence libanaise, Najat Charafeddine, a avait annoncé dans un communiqué à la télévision que "le président Joseph Aoun a décidé de charger l'ancien ambassadeur Simon Karam de présider la délégation libanaise aux réunions du mécanisme".
Elle a précisé que cette décision avait été prise "suite à la demande des Etats-Unis (...) et après avoir été informés qu'Israël acceptait de joindre un membre non militaire à sa délégation".
Le président libanais s'était déclaré prêt à des négociations avec Israël, brisant un tabou entre les deux pays toujours en état de guerre.
En 1983, après l’invasion israélienne du Liban, les deux pays avaient mené des contacts directs qui avaient abouti à la signature d’un accord prévoyant l’établissement de relations entre eux, mais il n'a jamais été ratifié.
- "Pas de calme" -
Depuis plusieurs semaines, la presse israélienne multiplie les articles sur la possible imminence d'une nouvelle campagne militaire israélienne contre le Hezbollah au Liban.
Selon la radio-télévision publique israélienne, "Israël se prépare à une escalade majeure au Liban à la lumière du renforcement militaire en cours du Hezbollah", a affirmé la radio-télévision publique israélienne mercredi.
"Washington tente d'apaiser les tensions, mais des responsables israéliens affirment qu'une escalade semble inévitable", a-t-elle ajouté.
Il n'y aura "pas de calme" au Liban sans sécurité pour Israël, avait déclaré le ministre de la Défense israélien Israël Katz le 26 novembre.
"Nous ne permettrons aucune menace contre les habitants du nord (d'Israël), et une pression maximale continuera à être exercée et même s'intensifiera", avait-il dit devant le Parlement israélien, avançant pour preuve "l'élimination" le 23 novembre à Beyrouth du chef militaire du Hezbollah, Haitham Ali Tabatabai.
Le chef du Hezbollah, Naïm Qassem, a déclaré le 28 novembre que son mouvement se réservait "le droit de répondre" en temps voulu à cet assassinat.
T.Egger--VB