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Le Kremlin écarte l'idée d'un sommet Poutine-Zelensky-Trump-Erdogan
Le Kremlin a écarté vendredi une rencontre proposée par la Turquie entre Vladimir Poutine, Volodymyr Zelensky et Donald Trump sous l'égide de Recep Tayyip Erdogan, conditionnant tout sommet de ce type à l'obtention de "résultats" dans les négociations avec Kiev.
Le ministre turc des Affaires étrangères Hakan Fidan, en visite à Kiev, avait proposé plus tôt que la Turquie accueille "une rencontre entre M. Trump, M. Poutine et M. Zelensky, sous la direction" du président turc Recep Tayyip Erdogan.
Volodymyr Zelensky avait déjà proposé de rencontrer son homologue russe en mai, puis d'organiser un format tripartite incluant le président américain, mais le Kremlin n'avait pas donné suite.
Moscou a en revanche proposé à Kiev de se retrouver pour de nouveaux pourparlers directs lundi à Istanbul, après un premier rendez-vous peu fructueux le 16 mai dans la mégapole turque.
Le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov, interrogé vendredi par l'AFP sur la possibilité d'un sommet Poutine-Zelensky-Trump-Erdogan, a affirmé que Vladimir Poutine est "favorable, sur le principe, aux contacts au plus haut niveau".
Mais il faut d'abord "des résultats" dans les négociations entre Kiev et Moscou, a-t-il tranché, durant son briefing quotidien.
Dmitri Peskov a aussi affirmé que le Kremlin enverrait à Istanbul une délégation qui sera "prête" pour de nouveaux pourparlers lundi avec l'Ukraine, qui n'a toutefois pas encore formellement confirmé sa participation.
- Cessez-le-feu -
Kiev veut que le Kremlin lui envoie d'abord un "mémorandum" qu'il a dit avoir préparé et qui doit exposer ses conditions pour la paix, des conditions qui selon l'Ukraine risquent d'être "irréalistes".
Dmitri Peskov, questionné à ce sujet, a de nouveau refusé vendredi de transmettre à l'avance ce document et dit que le texte serait discuté "lors du deuxième cycle de négociations".
Le chef de la diplomatie ukrainienne Andriï Sybiga, aux côtés de son homologue truc, a affirmé que la transmission de ce document était importante pour que la prochaine réunion soit "substantielle".
L'Ukraine est "intéressée" par la poursuite de ces rencontres avec la Russie, a-t-il dit.
Plus tôt, M. Fidan avait assuré que "les deux parties souhaitent un cessez-le-feu", selon l'agence de presse étatique Anadolu.
Il a été reçu à Moscou par Vladimir Poutine cette semaine, et doit rencontrer vendredi le président Volodymyr Zelensky.
La Turquie, membre de l'Otan, est parvenue depuis le début de l'invasion russe de l'Ukraine en 2022 à maintenir de bonnes relations avec les deux pays.
- Exigences maximalistes -
Le président américain Donald Trump demande une trêve inconditionnelle, mesure que l'Ukraine et les Européens soutiennent.
Mais la Russie, qui a envahi son voisin en 2022, a refusé précédemment cette possibilité, estimant notamment qu'elle permettrait à l'armée ukrainienne de reprendre des forces sur le front.
Vladimir Poutine affirme qu'un cessez-le-feu est possible après des négociations se concentrant sur les "causes profondes" de la guerre, une référence à une série de demandes maximalistes du Kremlin.
La Russie exige notamment que l'Ukraine renonce à jamais à rejoindre l'Otan et lui cède les cinq régions dont elle revendique l'annexion.
Ces conditions sont inacceptables pour Kiev, qui assure par ailleurs que le Kremlin ne veut ni paix ni trêve.
L'armée russe a l'avantage sur le front et a revendiqué vendredi la prise de deux villages dans la région de Kharkiv, dans le nord-est de l'Ukraine.
- Frustration et critiques -
Pire conflit armé en Europe depuis la Deuxième Guerre mondiale, l'invasion russe de l'Ukraine a débuté en février 2022 et a déjà fait des dizaines, voire des centaines de milliers de morts.
Donald Trump, qui s'est rapproché de la Russie, a exprimé sa frustration envers Moscou ces derniers jours, estimant notamment que Vladimir Poutine joue "avec le feu".
Mais il a aussi critiqué Volodymyr Zelensky, à qui il reproche de traîner des pieds pour trouver un accord.
Au Conseil de Sécurité de l'ONU, l'ambassadeur américain intérimaire adjoint, John Kelley, a lui prévenu jeudi que "les États-Unis devront envisager de se retirer de leurs efforts de négociation" si Moscou décide de "poursuivre cette guerre catastrophique".
L'Ukraine exhorte ses alliés occidentaux, et surtout Washington, à prendre de nouvelles sanctions contre Moscou.
Depuis Singapour, le président français Emmanuel Macron a lui affirmé vendredi que la décision ou non de sanctionner la Russie, si elle refuse un cessez-le-feu en Ukraine, était un "test de crédibilité" pour Washington.
G.Frei--VB