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Rugby: le temps de la clémence est terminé pour le sélectionneur All Black
Après une première année assez décevante, le sélectionneur de la Nouvelle-Zélande Scott Robertson doit montrer que ses idées peuvent faire gagner les All Blacks, et avec la manière, sous peine de se retrouver très vite sous pression.
Quand il a pris les rênes de l'équipe, début 2024, Robertson a certes récupéré des vice-champions du monde, avec une défaite d'un point en finale, mais le Mondial en France n'a pas fait oublier les mois pénibles avant la compétition, au point que son prédécesseur, Ian Foster, a failli ne pas atteindre l'échéance.
L'ancien joueur de Perpignan, international à 23 reprises entre 1998 et 2002, est arrivé avec la promesse de beaucoup de changements, sur le terrain comme en dehors dans sa communication, collant mieux avec l'envie de la fédération de s'ouvrir pour développer la marque All Black.
"C'est vraiment un +storyteller+, différent des autres sélectionneurs néo-zélandais qui pouvaient être brusques et grincheux", souligne à l'AFP James McOnie, journaliste pour Sky et qui a connu Robertson depuis l'époque des Crusaders, qu'il a entraînés entre 2017 et 2023. Les images de ses pas de breakdance au centre du terrain, qui lançaient à chaque fois les festivités des six titres remportés à leur tête, ont beaucoup marqué les esprits et symbolisé ce renouveau souhaité.
Mais au pays du long nuage blanc plus qu'ailleurs, aucune histoire n'est belle si l'équipe phare ne gagne pas, et avec éclat. Et la première saison n'a pas été réussie selon ces standards, avec quatre défaites en quatorze matches, deux fois contre l'Afrique du Sud, contre l'Argentine et contre la France, et avec plusieurs victoires accrochées.
- "Jouer" contre vent et pluie -
"Nous avons toujours su qu'il y aurait une phase d'apprentissage. Mais nous savons et c'est ce qu'il dit cette année, que cette saison sera plus claire (...) En dehors du terrain, il y a une meilleure compréhension des exigences liées aux déplacements, à la logistique, aux impératifs commerciaux", a expliqué à l'AFP le directeur général de la fédération néo-zélandaise, Mark Robinson.
La sélection des All Blacks est la première expérience de Robertson dans un staff d'une sélection nationale senior, même s'il a dirigé la sélection néo-zélandaise championne du monde U20 en 2015.
Le jeu tout en vitesse et combinaison demandé par Robertson est une mécanique de haute précision et les nombreuses fautes ballon en mains de ses joueurs lors du premier test match face à la France, le premier de cette nouvelle saison internationale, l'ont montré.
"Je pense que beaucoup de choses nous sont désormais beaucoup plus familières. Nous nous comprenons mieux, après avoir été ensemble ces deux dernières années. Maintenant, il s'agit juste de faire en sorte que tout s'aligne", a assuré vendredi le capitaine Ardie Savea, à l'unisson de tous les joueurs depuis le début du rassemblement.
Il faudra le montrer samedi, malgré les conditions climatiques qui s'annoncent venteuses et pluvieuses la plupart de la journée sur Wellington et sur une pelouse qui aura connu juste avant un autre match international, l'équipe féminine de Nouvelle-Zélande contre l'Australie.
"Nous allons continuer à créer du jeu. Si une dépression arrive depuis le détroit de Cook", qui sépare l'île du nord et du sud de la Nouvelle-Zélande et où se situe Wellington, "nous nous adapterons mais nous jouerons aussi bien contre le vent que sous la pluie. Notre intention est d'utiliser nos capacités autant que possible", a confirmé l'entraîneur jeudi.
"La greffe se fera dans les six mois à un an. La première année, c'était plutôt un patchwork", estime James McOnie. Les Bleus aimeraient qu'elle ne se fasse pas dès samedi.
E.Gasser--VB