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Ukraine : Zelensky demande à ce que la Russie ne soit pas "récompensée" pour son invasion
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a affirmé lundi que la Russie ne devait pas être "récompensée" pour son invasion, à quelques heures de sa rencontre à Washington lundi avec Donald Trump, qui veut pousser Kiev à des concessions territoriales.
"Poutine commettra des meurtres pour maintenir la pression sur l'Ukraine et l'Europe, ainsi que pour humilier les efforts diplomatiques", a réagi le dirigeant ukrainien sur Facebook.
Il avait auparavant appelé la Russie à "mettre fin à cette guerre qu'elle a elle-même déclenchée".
Plusieurs dirigeants européens seront présents à Washington pour appuyer la position de Kiev, sommé par le président américain d'accepter des concessions après son sommet avec Vladimir Poutine vendredi en Alaska, qui n'a pas permis d'arrêter les combats en Ukraine.
Sont attendus le président français Emmanuel Macron, le chancelier allemand Friedrich Merz, la Première ministre italienne Giorgia Meloni, le Premier ministre britannique Keir Starmer, le président finlandais Alexander Stubb, le chef de l'Otan Mark Rutte, et la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen.
A quelques heures de cette rencontre, la première dans ce format depuis le début de l'invasion russe en février 2022, la Russie maintient la pression sur le terrain.
- Concessions territoriales -
Moscou a tiré quelques 140 drones et quatre missiles balistiques dans la nuit de dimanche à lundi, a annoncé l'armée de l'air ukrainienne.
Une frappe de drone russe a fait sept morts et des blessés à Kharkiv, dans l'est de l'Ukraine, selon les autorités locales.
Deux personnes ont été tuées dans des frappes ukrainiennes dans les régions de Kherson et Donetsk, dont d'importantes parties sont sous contrôle des troupes russes, selon les autorités d'occupation.
La réunion à Washington doit permettre d'aborder notamment de possibles concessions territoriales et des garanties de sécurité, pour mettre fin au conflit le plus sanglant en Europe depuis la Deuxième guerre mondiale.
Dans une série de messages sur son réseau Truth Social, Donald Trump avait mis la pression sur Volodymyr Zelensky pour qu'il renonce à certaines de ses exigences.
"Pas question" pour Kiev de récupérer le contrôle de la Crimée annexée par Moscou en 2014, ni d'entrer dans l'Otan, a ainsi averti le milliardaire.
- Cinq régions ukrainiennes concernées -
Le président ukrainien tiendra d'abord "une réunion préparatoire" avec les dirigeants européens à Washington, puis s'entretiendra en tête-à-tête avec M. Trump à partir de 13H00 (17H00 GMT). Les différents dirigeants européens se joindront ensuite à eux.
Sa dernière visite à la Maison Blanche remonte au 28 février, quand il avait été réprimandé et humilié publiquement dans le Bureau ovale par Donald Trump et son vice-président JD Vance, qui lui avaient reproché son manque de reconnaissance pour le soutien américain.
Outre la question de la Crimée évoquée explicitement dimanche par Donald Trump, un responsable au courant d'échanges téléphoniques samedi entre le président américain et des dirigeants européens a affirmé à l'AFP qu'il soutenait une proposition de Moscou selon laquelle Kiev céderait les régions de Donetsk et Lougansk (est), et le front serait gelé dans celles de Kherson et Zaporijjia (sud).
L'émissaire américain Steve Witkoff a assuré que Moscou avait fait "certaines concessions" territoriales concernant "cinq régions" ukrainiennes, citant uniquement "une importante discussion sur Donetsk", région qui constitue la priorité militaire du Kremlin.
"L'Ukraine ne peut céder aucun territoire, pas même ceux occupés par la Russie", tranche Ievgeniï Sosnovsky, réfugié de la région de Donetsk à Kiev.
Ce sexagénaire originaire de Marioupol, ville occupée par Moscou après de sanglants combats, fustige Donald Trump qui, pour "un Prix Nobel", veut "réconcilier l'Ukraine et la Russie par tous les moyens". Une chose "impossible", estime-t-il.
- Garanties de sécurité -
"Dois-je simplement rayer toute ma vie là-bas? Comment peut-on abandonner sa patrie?", se désole Lioudmyla Bondareva, originaire de la ville de Bakmout, opposée à la cession de sa région aujourd'hui rasée et occupée par les troupes de Moscou.
En rentrant d'Alaska, où il a accueilli Vladimir Poutine en grande pompe, Donald Trump a évoqué la piste d'une clause de sécurité collective inspirée de l'article 5 de l'Otan, en dehors toutefois du cadre de l'Alliance atlantique, considérée par Moscou comme une menace existentielle.
Selon Emmanuel Macron, les Européens vont demander à M. Trump "jusqu'à quel point" il se joindra aux garanties de sécurité.
Le président américain a laissé entrevoir un sommet tripartite avec MM. Poutine et Zelensky, si "tout marche bien" lorsqu'il recevra le dirigeant ukrainien.
En cas d'échec des pourparlers, le chef de la diplomatie américaine, Marco Rubio, a prévenu que Washington pourrait prendre de "nouvelles sanctions" contre Moscou, accusé par Kiev et ses alliés de jouer la montre en maintenant des demandes maximalistes.
La Chine a dit lundi espérer un accord "acceptable pour toutes les parties dès que possible".
T.Suter--VB