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Bolivie: arrestation de la juge qui avait annulé le mandat d'arrêt contre Evo Morales
La juge à l'origine de la brève annulation du mandat d'arrêt et des charges contre l'ancien président bolivien Evo Morales, poursuivi pour traite de mineure, a été interpellée lundi, a annoncé le ministère public.
Le parquet avait ordonné en octobre l'arrestation du dirigeant indigène de 65 ans qui entend briguer un quatrième mandat à la tête du pays à l'occasion de l'élection présidentielle du 17 août.
Quelques jours après la décision de la juge, un tribunal a rétabli vendredi de manière provisoire le mandat d'arrêt et les charges contre l'ancien dirigeant (2006-2019).
"La police a exécuté" un mandat d'arrêt contre la juge Lilian Moreno, a déclaré lundi le procureur général Roger Mariaca lors d'une conférence de presse.
Le ministère de la Justice avait indiqué dimanche avoir dénoncé la magistrate pour les délits présumés de désobéissance aux résolutions constitutionnelles et de prévarication, c'est-à-dire de manquement à ses devoirs.
Ce n'est pas la première fois que la magistrate rendait une décision concernant Evo Morales. En octobre 2024, elle avait déjà annulé dans cette même affaire un premier mandat d'arrêt émis par le parquet.
Sa décision avait ensuite été annulée par une instance supérieure.
Selon les médias locaux, la magistrate a été arrêtée à Santa Cruz, dans l'est du pays, et emmenée sur un vol commercial à La Paz, la capitale administrative.
"Dans les prochaines heures, cette personne, qui est aujourd'hui en garde à vue, fera sa déposition devant un procureur", a précisé M. Mariaca.
L'avocat de la juge Moreno, Vladimir Honor, a estimé auprès des médias locaux que l'arrestation était "illégale et arbitraire".
- "Infraction administrative" -
La juge Moreno avait annulé mercredi la procédure entamée dans le département de Tarija, dans le sud de la Bolivie, ordonnant sa réouverture à Cochabamba, le fief politique d'Evo Morales.
Vendredi, un juge de La Paz a suspendu les effets de sa décision.
Manuel Baptista, président du Conseil de la magistrature, a déclaré lundi lors d'une conférence de presse qu'il n'appartenait pas à la juge Moreno de décider quelle autorité devait être saisie de l'affaire.
Il existe des indices "permettant de considérer qu'il y a eu une infraction administrative très grave", passible de "révocation", a-t-il ajouté.
Il a également précisé que le juge de La Paz qui a annulé la décision de Mme Moreno faisait lui aussi l'objet d'une procédure disciplinaire, n'étant pas habilité à réexaminer cette décision.
Depuis octobre et l'émission du mandat d'arrêt à son encontre, Evo Morales a trouvé refuge dans son fief du Chapare, dans le département de Cochabamba, où la police n'est jamais intervenue pour l'interpeller.
Selon le parquet, il aurait entretenu en 2015, alors qu'il était à la tête du pays, une relation avec une adolescente avec le consentement des parents en échange d'avantages.
Evo Morales a toujours rejeté ces accusations, se disant victime d'une "persécution judiciaire" du gouvernement du président Luis Arce, son ancien ministre de l'Economie.
Le premier chef d'Etat bolivien d'origine indigène souhaite revenir au pouvoir malgré un arrêt de la Cour constitutionnelle ayant confirmé fin 2024 l'interdiction pour un président d'exercer plus de deux mandats.
R.Fischer--VB