-
Biathlon: Julia Simon, suspendue un mois ferme, pourra disputer les JO-2026
-
Ligue Europa: premier revers européen pour Lyon face au Betis Séville
-
Wall Street pique du nez, la tech en première ligne
-
Le président libanais condamne de nouvelles frappes israéliennes
-
Ligue Europa: plombé par Berke Özer, Lille s'incline à Belgrade
-
Ligue Europa: Nice, désespérant, s'effondre contre Fribourg
-
Sombre lancement pour la COP30 de Belem: les dirigeants constatent l'échec sur l'accord de Paris
-
Avec la nouvelle Twingo, Renault veut réveiller le marché des électriques "abordables"
-
Oléron: le suspect évoque des "ordres d'Allah", mais n'est pas lié à des "organisations terroristes"
-
Sommet climat: dans la touffeur amazonienne, les dirigeants tombent la cravate
-
Paris exhorte Bruxelles à "sévir" contre Shein
-
La Bourse de Paris clôture dans le rouge sous l'effet de prises de bénéfices
-
USA: abandon des poursuites pénales contre Boeing liées aux crashes du 737 MAX 8
-
Les Bourses européennes terminent en baisse, lestées par des prises de profits
-
Equipe de France: N'Golo Kanté à la rescousse
-
Argentine: procès-phare de corruption pour une Cristina Kirchner crépusculaire
-
Île d'Oléron: pas de saisine antiterroriste, le profil du suspect scruté
-
Wall Street sur ses gardes, entre valorisations records et incertitudes commerciales
-
Allemagne : Merz soutient la Commission européenne contre l’acier subventionné de Chine
-
"Cette loi joue avec nos vies": nouvelle menace sur les LGBT+ en Turquie
-
Vedette de la tech française, Doctolib sanctionnée pour des pratiques anticoncurrentielles
-
Shein: contrôle de 100% des colis issus de la plateforme à Roissy-CDG, selon Amélie de Montchalin
-
Des bijoux de plusieurs millions et une broche de Napoléon en vente à Genève
-
Liban: le Hezbollah rejette toute négociation avec Israël, affirme son droit à se défendre
-
La Banque d'Angleterre maintient son taux directeur à 4% après un vote serré
-
AstraZeneca continue de s'appuyer sur les Etats-Unis de Trump pour sa croissance
-
Une structure d'accueil pour dauphins au zoo de Beauval, le sort des cétacés du Marineland en suspens
-
Equateur : une ministre américaine visite des installations pouvant servir de base militaires
-
Criant au "délire fiscal", la droite veut reprendre la main sur le débat budgétaire
-
Léon XIV reçoit Mahmoud Abbas pour la première fois
-
Aux Etats-Unis, la paralysie budgétaire va déclencher l'annulation de milliers de vols
-
XV de France: une charnière inédite Le Garrec - Ntamack alignée d'entrée face aux Springboks
-
Paris a réduit d'un quart ses émissions de gaz à effet de serre en dix ans, selon une étude
-
Doctolib condamné à 4,6 millions d'euros d'amende pour abus de position dominante
-
La Bourse de Paris digère une nouvelle vague de résultats
-
Le Louvre a négligé la sécurité au profit de l'attractivité, critique la Cour des comptes
-
Quand Trump utilise l'IA pour se glorifier et dénigrer ses adversaires
-
Île d'Oléron: le suspect toujours en garde à vue, son profil scruté
-
"Racines du ciel" dans les savanes ivoiriennes: les éco-guerriers de la Comoé
-
Ligue Europa: Lyon vise le sans-faute, Lille à la relance
-
Le typhon Kalmaegi se dirige vers le Vietnam après avoir fait plus de 140 morts aux Philippines
-
NHL: Alex Ovechkin premier joueur à atteindre les 900 buts
-
Le droit à l'avortement menacé en Europe, alerte Amnesty International
-
COP30: l'IA renforce la désinformation sur le climat, selon une ONG
-
Climat: le pic des émissions chinoises attendu d'ici 2030, et non dès 2025, selon des experts
-
RTL fêtera mi-novembre les 25 ans de Laurent Gerra sur son antenne
-
Meghan Markle s'apprête à faire son retour au cinéma, selon des médias américains
-
Le procès contre Boeing se recentre sur une seule victime après un accord à l'amiable
-
Les actionnaires de Tesla votent sur le package à 1.000 milliards de Musk
-
NBA: Wembanyama frustré, le Thunder battu
Cyclisme: sans Pogacar, la Vuelta promise à Vingegaard
Sans l'ogre slovène Tadej Pogacar, vainqueur le mois dernier de son quatrième Tour de France, le Tour d'Espagne s'élance samedi de Turin, en Italie, une première, avec le Danois Jonas Vingegaard comme grand favori à la victoire finale à Madrid.
En l'absence de son bourreau de juillet, qui n'a disputé la Vuelta qu'une seule fois il y a six ans, Vingegaard, double vainqueur du Tour de France (2022 et 2023), dispose d'une occasion unique d'enrichir son palmarès, à 28 ans.
Outre "Pogi", plusieurs cadors du peloton ont décidé de faire l'impasse, à l'image de Primoz Roglic, quadruple lauréat de l'épreuve, Remco Evenepoel, Mathieu van der Poel, Wout Van Aert ou Richard Carapaz.
S'il s'avance comme grand favori à la succession de Roglic, Jonas Vingegaard devra toutefois se méfier d'oustiders aux dents longues, tels l'Italien Giulio Ciccone et l'Espagnol Juan Ayuso.
Pour ramener son premier maillot rouge dans les rues de la capitale espagnole le 14 septembre, au terme d'une parcours généreux en étapes de montagne, le leader de Visma-Lease a Bike sera accompagné de ses deux principaux lieutenants, les Américains Matteo Jorgenson -vainqueur du dernier Paris-Nice mais décevant sur la Grande boucle- et Sepp Kuss, qui a lui-même remporté la Vuelta il y a deux ans.
Toujours prudent, Vingegaard a tout de même qualifié de "réaliste" la perspective d'un premier succès final au Tour d'Espagne.
- La menace des incendies -
"Il y a beaucoup d'étapes où l'on peut faire la différence, il est donc important d'être prêt dès le début", a déclaré celui qui fut le seul à tenter de suivre les accélérations létales de Pogacar au Tour de France, terminé à la 2e place.
Et le Danois n'aura pas à craindre de jeter toutes ses forces dans la bataille puisqu'il a annoncé jeudi qu'il renonçait à se rendre ensuite aux Mondiaux au Rwanda, où "Pogi" défendra son titre fin septembre.
Au sein de l'équipe UAE justement, en l'absence du patron, Juan Ayuso, le grand espoir du cyclisme espagnol aura une carte maitresse à jouer, même si la cohabitation avec le Portugais Joao Almeida, remis de sa chute au Tour de France, pourrait s'avérer explosive.
Pas épargné par les chutes cette saison, le grimpeur français David Gaudu, contraint de renoncer au dernier Tour de France, portera lui les espoirs de l'équipe Groupama-FDJ aux côtés de Guillaume Martin-Guyonnet, sur des routes lui ayant déjà souri par le passé, avec une sixième place au général en 2024 et deux victoires d'étapes en 2020.
Comme souvent dans les Grands Tours, c'est en montagne que la victoire finale devrait se jouer, avec la moitié des étapes arrivant en altitude, dont cinq marquées par des ascensions mythiques, comme l'Angliru (13e étape) ou la Bola del Mundo (20e étape). Ce parcours ne laissera à l'inverse que peu d'opportunités aux sprinteurs purs jusqu'à l'arrivée à Madrid.
La grande nouveauté de cette édition 2025 réside de son départ de Turin, afin de rendre hommage à Angelo Conterno, premier vainqueur italien de la Vuelta en 1956 et natif de la ville, suivi par trois autres étapes sillonnant le Piémont.
Les coureurs feront ensuite un passage en France, à Voiron (Isère), avec notamment l'ascension du Lautaret (2.059 m), avant de retrouver le sol espagnol lors de la cinquième étape -un contre-la-montre par équipes dans le nord de la Catalogne, à Figueres.
Si le parcours zappe le sud de l'Espagne, encore brûlant à cette période de l'année, l'épreuve sera sous la menace des vastes incendies qui ravagent le pays, en particulier lorsqu'elle arrivera dans les régions de León et de Galice, deux des zones où les feux sont les plus intenses.
S.Spengler--VB