-
Après le passage de l'ouragan Melissa à Cuba, le difficile travail de reconstruction
-
Climat: près de Bordeaux, levures et porte-greffe à la rescousse du vin
-
NBA: le Thunder surclasse les Pelicans, les Pistons maîtrisent les Pacers
-
Perrier: un tribunal français rend sa décision quant à la suspension des ventes
-
Trump reçoit le prince héritier saoudien avec tous les égards
-
Les antibiotiques, à nouveau trop systématiques en France en 2024
-
Tensions avec Pékin: Tokyo appelle ses ressortissants en Chine à la prudence
-
Le Conseil de sécurité de l'ONU vote pour une force internationale à Gaza
-
TotalEnergies visé par une plainte pour "complicité de crimes de guerre" au Mozambique
-
La Coordination rurale renouvelle sa tête dans un congrès sous tension
-
Perrier: décision attendue sur la suspension des ventes demandée par UFC-Que Choisir
-
Accusé par Holnest de diffamation, Rue89Lyon devant la justice
-
Le tandem Merz-Macron en quête de souveraineté numérique pour l'Europe
-
Le Congrès américain ouvre un nouveau chapitre dans l'affaire Epstein
-
Trump et Maduro prêts à parler alors que les tensions montent au Venezuela
-
Canada: le Parlement adopte de justesse le budget, le gouvernement Carney survit
-
Chili: la droite s'impose au Parlement, le candidat d'extrême droite José Antonio Kast renforcé
-
NBA: élongation au mollet gauche pour Wembanyama, qui devrait manquer plusieurs semaines
-
Au Canada, Carney joue la survie de son gouvernement sur son budget
-
Mondial-2026: soulagée et rassurée, l'Allemagne verra l'Amérique l'été prochain
-
Une dose infime de plastique peut tuer la faune marine, alerte une étude
-
Wall Street flanche, s'inquiète du poids de la tech
-
Aux Prud’hommes, Mbappé et le PSG se réclament des sommes folles
-
Une édition de Choose France focalisée sur les entreprises tricolores qui investissent en France
-
Déplacer les animaux sauvages, dernier recours face à la dégradation de leur habitat au Kenya
-
Electricité: TotalEnergies s'allie avec Daniel Kretinsky, qui s'installe au capital du géant des hydrocarbures
-
Tchèques et Slovaques dans la rue par milliers pour la démocratie
-
Attaquée sur sa taxe carbone, l'Union européenne se défend à la COP30
-
Novasco: cession partielle actée, l'aciérie d'Hagondange en Moselle condamnée à fermer
-
Des milliers de personnes commémorent en Grèce le soulèvement contre la junte
-
Aide étrangère: les coupes occidentales pourraient provoquer 22.6 millions de décès, selon une étude
-
Pêche française: une étude analyse les émissions de carbone et dénonce un "écart abyssal" entre les bateaux
-
Le Royaume-Uni durcit sa politique d'asile avec une réforme d'ampleur
-
La Bourse de Paris termine en repli en attendant des nouvelles économiques des Etats-Unis
-
Des milliers de personnes commémorent à Athènes le soulèvement contre la junte
-
A la COP30, la Corée du Sud s'engage vers la sortie du charbon
-
Un Choose France met à l'honneur les entreprises tricolores qui investissent en France
-
Novasco: cession partielle actée, plus de 500 emplois supprimés
-
L'OMS appelle à réguler les nouveaux produits à base de nicotine
-
Les députés reviennent sur la hausse prévue du "malus CO2" pour les véhicules polluants
-
Varsovie dénonce le "sabotage" d'une voie ferrée menant vers l'Ukraine
-
Wall Street en hausse, les résultats de Nvidia en ligne de mire
-
Coupe Davis: Raphaël Collignon, la belge histoire
-
Santé: les hôpitaux s'inquiètent des projets de transferts de compétences aux départements
-
Arabie saoudite: 45 morts dans l'accident d'un car de pèlerins indiens
-
Un Choose France dédié aux entreprises tricolores, avec 9 milliards d'investissements nouveaux
-
Indonésie: 18 morts dans des glissements de terrain, selon un nouveau bilan
-
Le Royaume-Uni durcit sa politique d'asile
-
La Haute autorité de santé recommande de ne plus prescrire un test sanguin fréquemment utilisé
-
Singapour: un Australien condamné pour s'être rué sur Ariana Grande
Le Conseil de sécurité de l'ONU vote pour une force internationale à Gaza
Le Conseil de sécurité de l'ONU a voté lundi pour le plan de paix de Donald Trump à Gaza, prévoyant en particulier le déploiement d'une force internationale, sous la pression des Etats-Unis qui mettaient en garde contre le risque d'une reprise de la guerre.
Treize de ses membres se sont prononcés en faveur de la résolution. Le président américain s'est félicité d'une "des approbations les plus importantes de l'histoire des Nations Unies".
Donald Trump a remercié les pays siégeant au Conseil de sécurité, y compris la Russie et la Chine, qui se sont abstenues.
Plusieurs fois modifiée lors de négociations sensibles, la résolution "endosse" le plan du président américain qui a permis, depuis le 10 octobre, un cessez-le-feu fragile entre Israël et le Hamas dans le territoire palestinien.
Pour Stéphane Dujarric, le porte-parole du secrétaire général de l'ONU, son adoption est "une étape importante dans la consolidation du cessez-le-feu" à Gaza, ravagée par deux années de guerre provoquée par l'attaque sanglante du mouvement islamiste palestinien du 7 octobre 2023.
Le Hamas a estimé que le texte, soutenu par l'Autorité palestinienne, "ne répond(ait) pas aux exigences et aux droits politiques et humains" des Palestiniens. Il "impose un mécanisme de tutelle internationale sur la bande de Gaza, ce que notre peuple, ses forces et ses composantes rejettent", a écrit le mouvement.
La résolution, vue par l'AFP, donne mandat jusqu'au 31 décembre 2027 à un "Comité de la paix", organe de "gouvernance de transition" jusqu'à la réforme de l'Autorité palestinienne. Ce comité doit être présidé par Donald Trump.
Le texte "autorise" aussi une "force de stabilisation internationale" (ISF) chargée notamment de la sécurisation des frontières avec Israël et l'Egypte, de la démilitarisation de Gaza, du désarmement "des groupes armés non étatiques", de la protection des civils et de la formation d'une police palestinienne. La composition de cette force n'est pas évoquée.
Contrairement aux premières versions, l'éventualité d'un Etat palestinien est mentionnée. Après la réforme de l'Autorité palestinienne, "les conditions pourraient finalement être en place pour un chemin crédible vers une autodétermination palestinienne et un statut d'Etat", dit le texte.
- Objections russes -
Un avenir clairement rejeté par Israël. "Notre opposition à un Etat palestinien sur quelque territoire que ce soit n'a pas changé", a insisté dimanche le Premier ministre Benjamin Netanyahu.
L'ambassadeur d'Israël aux Nations unies, Danny Danon, a insisté de son côté sur le retour des corps des trois derniers otages encore à Gaza et la "démilitarisation du Hamas".
Pour la France, qui a voté en faveur de cette résolution, elle "répond aux besoins les plus urgents des populations et permet de soutenir les efforts de paix en cours".
"Nous nous sommes assurés que le texte (...) inclue des éléments importants pour nous, et notamment des références à la perspective d'un État palestinien", a ajouté une source diplomatique.
Louis Charbonneau, de l'ONG Human Rights Watch, a insisté sur le fait que la résolution ne diminue en rien "l'obligation qu'ont Israël et ses alliés de se conformer au droit international humanitaire et aux droits humains".
La Russie, qui a fait circuler un texte concurrent, avait justifié cette initiative par le fait que la résolution américaine n'allait pas assez loin sur la perspective d'un Etat palestinien, affirmant un "engagement indéfectible" en faveur de la solution à deux Etats.
L'ambassadeur russe, Vassili Nebenzia, a regretté que "le Conseil donne son aval à une initiative américaine sur la base de promesses de Washington, accordant le contrôle total de la bande de Gaza au Comité de la paix".
D'autres Etats membres ont exprimé des réticences, s'inquiétant d'un manque de clarté dans les mandats du Comité de la paix et de l'ISF.
Face à ce qu'ils ont qualifié de "tentatives de semer la discorde", les Etats-Unis avaient redoublé d'efforts ces derniers jours pour obtenir un feu vert.
"Voter contre cette résolution, c'est voter pour un retour à la guerre", a notamment lancé Mike Waltz avant le scrutin.
Les Américains ont également mis en avant le soutien des pays arabes et musulmans (Qatar, Egypte, Emirats arabes unis, Arabie saoudite, Indonésie, Pakistan, Jordanie, Turquie).
C.Kreuzer--VB