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Trump de retour à la tribune de l'ONU, Zelensky à l'affût
Donald Trump fait mardi son grand retour à la tribune de l'Assemblée générale de l'ONU où il entend dénoncer les "mondialistes", tandis que le président ukrainien Volodymyr Zelensky s'efforcera à nouveau de battre le rappel face à l'inflexibilité russe.
Le président américain, qui a bouleversé l'ordre géopolitique mondial en quelque huit mois menés tambour battant, devrait se délecter de l'exercice, lui qui savoure ces grands rendez-vous et nourrit l'espoir d'un prix Nobel de la paix.
Il entend se montrer combatif, selon la porte-parole de la Maison Blanche, Karoline Leavitt.
Dans son discours, il s'en prendra, selon elle, aux "organisations mondialistes" qui ont "fait péricliter l'ordre mondial", de quoi faire tressaillir le temple du multilatéralisme.
Donald Trump vantera aussi son action pacificatrice, lui qui assure avoir mis fin à "sept guerres" depuis son retour à la Maison Blanche en janvier.
Les dirigeants mondiaux seront à l'écoute même s'il a bouleversé les alliances des Etats-Unis, frappé nombre de pays de taxes douanières, quitté des forums internationaux et opéré des coupes budgétaires massives dans l'aide étrangère américaine.
"Je pense qu'il y a un sentiment, ou du moins un espoir, que Trump viendra ici dans un état d'esprit plutôt positif", juge cependant Richard Gowan, de l'International Crisis Group. "Il apprécie l'Assemblée générale, il apprécie l'attention que lui portent les autres dirigeants, et je soupçonne qu'il va profiter de son apparition pour se vanter de ses nombreuses réalisations et peut-être, une fois de plus, faire valoir qu'il mérite le prix Nobel de la paix".
Le président américain aura aussi à New York des entretiens bilatéraux avec ses homologues ukrainien Volodymyr Zelensky et argentin Javier Milei, en plus d'organiser une réunion avec les dirigeants de plusieurs pays musulmans (Qatar, Arabie saoudite, Indonésie, Turquie, Pakistan, Egypte, Emirats arabes unis et Jordanie), a précisé la Maison Blanche.
Il doit aussi s'en prendre aux pays qui ont choisi de reconnaître l'Etat de Palestine, au lendemain d'un sommet à l'ONU où la France s'est ajoutée à quelque 150 autres pays s'inscrivant déjà dans ce mouvement historique mais à la portée encore avant tout symbolique.
Le président américain "pense que c'est une récompense pour le Hamas", a dit sa porte-parole.
La guerre dans la bande de Gaza fera l'objet mardi d'une réunion du Conseil de sécurité de l'ONU, mais en l'absence d'Israël qui a déploré qu'elle se tienne en plein Nouvel an juif.
- Entretien Trump-Zelensky -
Parmi les autres orateurs attendus mardi figure le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva, qui interviendra en premier, juste avant M. Trump.
Les relations entre les deux dirigeants sont au plus bas alors que le président américain accuse Lula de mener une "chasse aux sorcières" contre l'ex-dirigeant d'extrême droite Jair Bolsonaro.
Le président français Emmanuel Macron, fort d'avoir coprésidé lundi avec l'Arabie saoudite le sommet sur la solution à deux Etats, et les dirigeants turc Recep Tayyip Erdogan et sud-africain Cyril Ramaphosa prononceront également des discours.
Autre temps fort: une réunion du Conseil de sécurité sur l'Ukraine, alors que les efforts diplomatiques pour mettre fin à l'invasion russe semblent dans l'impasse.
"Il est évident que les Européens seront surtout attentifs à ce qu'il (Trump) aura à dire sur la Russie", souligne M. Gowan tout en estimant que c'est "extrêmement imprévisible".
Le conflit en Ukraine ne montre aucun signe d'apaisement. Moscou a intensifié ses frappes et met à l'épreuve les alliés de l'Otan, après des incursions d'avions russes dans l'espace aérien de l'Estonie, le troisième incident en dix jours concernant des pays voisins de la Russie.
Donald Trump a lancé des ultimatums, sous peine de sanctions, pour pousser Vladimir Poutine à un compromis et mettre fin à la guerre. Mais le président russe n'a pas plié, et son homologue américain n'a pas mis ses menaces à exécution.
A tel point que le président américain estime que son homologue russe, qu'il avait rencontré en grande pompe en Alaska en août, l'a "laissé tomber".
"Je pense que nous perdons beaucoup de temps si nous attendons, n'imposons pas de sanctions ou ne prenons pas les mesures que nous attendons vraiment de lui", a déclaré le président ukrainien il y a quelques jours à un groupe de journalistes, dont l'AFP.
Il a dit attendre des "sanctions fortes" de la part de Washington, estimant que l'Europe "fait sa part".
Donald Trump s'est dit prêt à prendre de nouvelles sanctions contre la Russie, mais à la condition que les Européens arrêtent d'acheter des hydrocarbures russes.
F.Wagner--VB