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Ukraine: les Européens "prêts" sur des garanties de sécurité, attendent la contribution de Trump
Les soutiens européens de l'Ukraine se sont réunis jeudi à Paris pour afficher leur détermination à lui fournir des garanties de sécurité et demander à Donald Trump quelle sera la contribution des Etats-Unis, une fois un cessez-le-feu en place.
Ce sommet d'environ 35 dirigeants, certains présents à l'Elysée et d'autres en visioconférence, "va nous permettre de finaliser les garanties de sécurité robustes pour l'Ukraine", a déclaré à l'ouverture des travaux le président français Emmanuel Macron, à la tête de la coalition avec le Premier ministre britannique Keir Starmer.
Les Européens vont acter qu'ils sont "prêts" sur l'octroi des ces garanties, pour mieux signifier qu'ils attendent désormais des gestes concrets des Américains dans le même sens.
"L'Europe est au rendez-vous, pour la première fois avec ce niveau d'engagement et d'intensité", avait annoncé mercredi Emmanuel Macron, ajoutant que le travail de "préparation" pour ces garanties était "achevé" et qu'il allait être "endossé politiquement" à la réunion.
Les alliés de l'Ukraine attendent maintenant "de voir ce que les Américains souhaitent apporter concernant leur participation", a relevé le secrétaire général de l'Otan, Mark Rutte.
Les Etats-Unis sont représentés à la réunion parisienne par Steve Witkoff, l'émissaire de Donald Trump. Ensuite, le président américain s'entretiendra en visioconférence avec ses homologues à l'issue de leur sommet à 14H00 (12H00 GMT).
Emmanuel Macron et son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky, présent à l'Elysée, donneront ensuite une conférence de presse à 15H00 (13H00 GMT).
Le président américain, se disant "très déçu" par son homologue russe Vladimir Poutine, a averti qu'il "se passerait quelque chose" si Moscou ne répondait pas à ses attentes de paix.
Les Européens vont lui demander une nouvelle fois d'augmenter la pression sur la Russie qui ne montre aucun "signe", selon le président ukrainien, de vouloir arrêter les combats, en lui imposant de nouvelles sanctions.
Outre Volodymyr Zelensky, sept dirigeants européens, dont le Premier ministre polonais Donald Tusk et la Danoise Mette Frederiksen, sont présents à l'Elysée. Keir Starmer y assiste en distanciel, de même que l'Allemand Friedrich Merz et l'Italienne Giorgia Meloni.
La "Coalition des volontaires" rassemble les soutiens militaires de l'Ukraine, pour l'essentiel européens, mais aussi le Canada, l'Australie ou le Japon.
Elle est disposée à contribuer au renforcement de l'armée ukrainienne, voire pour certains pays - dont la France, le Royaume-Uni et la Belgique - à déployer des soldats en Ukraine, une fois un cessez-le-feu conclu, pour dissuader la Russie de toute nouvelle agression.
- Réserves -
Mais certains alliés se sont montrés hésitants dans l'attente de la contribution américaine, que plusieurs pays européens jugent indispensable avant tout engagement de leur part.
Jusqu'à un cessez-le-feu, "il n'y aura certainement pas de déploiement de troupes en Ukraine et même après", a rappelé le chancelier Merz.
L'Allemagne entend plutôt contribuer au renforcement de la défense antiaérienne de l'Ukraine et à l'équipement de ses forces terrestres, ont indiqué des sources gouvernementales à l'AFP.
La Russie martèle qu'elle n'acceptera aucune "intervention étrangère quelle qu'en soit la forme", la porte-parole de sa diplomatie Maria Zakharova qualifiant les protections demandées par Kiev de "garanties de danger pour le continent européen".
"Ce n'est pas à eux de décider", a rétorqué jeudi Mark Rutte au nom de l'Otan, en déplacement à Prague.
Donald Trump a promis lors d'une réunion avec six dirigeants européens le 18 août à Washington que les Etats-Unis apporteraient des garanties de sécurité, sans préciser lesquelles.
Ce "filet de sécurité" américain, ou "backstop" en anglais, pourrait prendre différentes formes - renseignement, soutien logistique, communications -, le président américain ayant exclu l'envoi de troupes américaines au sol.
En attendant, Vladimir Poutine, qui affiche un retour en force sur la scène internationale avec une présence très remarquée mercredi aux côtés du président chinois Xi Jinping et du dirigeant nord-coréen Kim Jong Un à Pékin, après le sommet d'Anchorage le 15 août avec Donald Trump, multiplie les déclarations offensives.
Moscou atteindra ses objectifs en Ukraine par la voie militaire si les négociations avec Kiev échouent, a-t-il averti depuis la Chine, assurant que ses troupes demeuraient "à l'offensive" sur l'ensemble du front.
J.Marty--VB