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Suspense autour de la signature d'un accord sur les minerais ukrainiens
Les Etats-Unis et l'Ukraine se sont déclarés prêts à signer ce mercredi un accord âprement négocié sur les minerais dont dispose ce pays, mais, en l'absence d'annonce officielle, l'incertitude règne quant à savoir si cela se fera effectivement.
Cet accord est négocié en parallèle à de multiples tractations diplomatiques en cours pour trouver une issue au conflit, trois ans après l'invasion russe de l'Ukraine.
"Nous sommes prêts à signer", a déclaré à la presse le ministre américain des Finances, Scott Bessent, après une réunion du gouvernement de Donald Trump.
Il a cependant souligné que les Ukrainiens avaient "décidé (mardi) soir d'apporter quelques changements de dernière minute".
"Nous sommes sûrs qu'ils vont reconsidérer la question, et nous sommes prêts à signer cet après-midi si c'est le cas", a ajouté le secrétaire au Trésor.
Interrogé pour savoir quels changements, il a répondu: "Il s'agit du même accord que celui que nous avons conclu ce week-end. Aucun changement de notre côté".
L'Ukraine a également dit s'attendre à signer cet accord mercredi.
La ministre de l'Economie Ioulia Svyrydenko est en route vers Washington et "devrait signer l'accord ce (mercredi) soir", a affirmé à l'AFP un responsable de la présidence ukrainienne sous le couvert de l'anonymat.
- "Commencer à creuser" -
Le président américain a réitéré mercredi que les Etats-Unis souhaitaient, "pour nos efforts" vis-à-vis de l'Ukraine, avoir quelque chose en retour. "Et nous avons dit: les terres rares. Ils ont de très bonnes terres rares".
Les Etats-Unis ont fourni, sous l'ancienne administration de Joe Biden, des dizaines de milliards de dollars d'aide à l'Ukraine, après l'invasion de ce pays par la Russie en février 2022.
"Nous avons conclu un accord qui garantit notre argent et nous permet de commencer à creuser et à faire ce que nous avons à faire", a poursuivi le président américain, soulignant que "c'est aussi une bonne chose pour eux parce qu'il y aura une présence américaine" en Ukraine.
Le projet d'accord a été depuis des semaines au coeur de tensions entre Kiev et Washington, dont le soutien est crucial pour l'Ukraine.
Une précédente mouture de ce texte aurait dû être signée lors de la visite du président ukrainien Volodymyr Zelensky à la Maison Blanche fin février, mais son altercation inédite avec son homologue américain, sous les caméras, avait précipité son départ et annulé la signature de l'accord.
Une nouvelle version, proposée par Washington en mars, avait été jugée très défavorable par des députés ukrainiens et des médias.
Au fil des négociations, ce document a pu être transformé en une version plus acceptable pour Kiev, selon des responsables ukrainiens.
- "Bel accord" -
"C'est vraiment un bel accord international équitable entre les gouvernements américain et ukrainien concernant des investissements communs dans le développement et la reconstruction de l'Ukraine", s'est félicité à la télévision nationale le Premier ministre ukrainien Denys Chmygal.
Il a évoqué une signature prévue "au cours des prochaines 24 heures".
Notamment, contrairement à ce que souhaitait Donald Trump, le texte amendé ne reconnaît pas comme une dette vis-à-vis des Etats-Unis les dizaines de milliards de dollars d'aide militaire et financière américaine.
"Aucune dette, aucune aide" accordée avant la signature "ne fait partie de cet accord", a assuré Denys Chmygal.
En revanche, le document, qui devra encore être ratifié par le Parlement ukrainien après sa signature, ne semble pas comporter de garanties de sécurité américaines face à la Russie, pourtant demandées par l'Ukraine, un point sur lequel insistait Volodymyr Zelensky.
Le texte "garantit l'égalité des parties" et prévoit la mise en place d'un "fonds d'investissement pour investir dans la reconstruction" de l'Ukraine ravagée par la guerre, a précisé le responsable de la présidence ukrainienne à l'AFP.
Selon M. Chmygal, le fonds sera financé et géré à parts égales par Ukrainiens et Américains.
La quantité de richesses minières que renferme le sol ukrainien reste peu claire, la plupart de ces ressources étant inexploitées, difficiles à extraire ou de facto sous contrôle russe, car se trouvant dans des territoires occupés par l'armée russe.
Cette dernière a d'ailleurs revendiqué mercredi la conquête d'une localité ukrainienne dans le nord de la région orientale de Donetsk, épicentre des combats où ses troupes poursuivent une lente avancée.
Parallèlement, Kiev a accusé Moscou d'augmenter l'intensité de ses attaques sur le front, en dépit de l'annonce du président russe d'une trêve du 8 au 10 mai.
W.Huber--VB