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Conflit en Ukraine: nouveau round de pourparlers à Londres
Américains, Ukrainiens et Européens se retrouvent mercredi à Londres pour un nouveau round de pourparlers pour tenter de trouver une issue au conflit en Ukraine.
Ces discussions, qui s'inscrivent dans la foulée de celles qui se sont tenues à Paris la semaine dernière, quoique à un moindre niveau, interviennent alors que la Russie a repris ses attaques aériennes à la suite d'une brève trêve de Pâques.
Mardi, le Kremlin a mis en garde contre toute précipitation dans les discussions visant à obtenir un cessez-le-feu après plus de trois ans d'invasion russe.
Le président américain Donald Trump, qui veut mettre un terme au plus vite à cette guerre "terrible et insensée", avait dit dimanche espérer un accord "dans la semaine" entre Moscou et Kiev, sans dévoiler les contours de cet engagement hypothétique.
Entretemps, l'émissaire américain Steve Witkoff prévoit un voyage cette semaine à Moscou, ont indiqué la Maison Blanche et le Kremlin, sans préciser la date.
Selon le Financial Times, le président russe Vladimir Poutine a proposé à M. Witkoff début avril d'arrêter son invasion et de geler la ligne de front actuelle si les Etats-Unis accèdent à ses revendications majeures, comme la reconnaissance de la souveraineté de la Russie sur la péninsule de Crimée, annexée en 2014, et la non-adhésion de l'Ukraine à l'Otan.
Kiev et ses alliés européens réclament pour leur part un retour complet de l'Ukraine dans ses frontières d'avant 2014, une position que le ministre américain de la Défense Pete Hegseth avait qualifié en février d'"irréaliste".
Si actuellement Washington mène des pourparlers séparés avec Kiev et Moscou, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a indiqué mardi que son pays était prêt à discuter directement avec la Russie seulement après l'entrée en vigueur d'un cessez-le-feu. Vladimir Poutine ayant évoqué la veille une possible reprise de tels pourparlers.
Dans l'immédiat, M. Zelensky a indiqué qu'il "voudrait" s'entretenir avec Donald Trump samedi au Vatican, où ils se trouveront tous les deux pour les obsèques du pape François.
La semaine dernière, les chefs de la diplomatie ukrainien, américain, français, britannique et un conseiller de haut rang allemand s'étaient retrouvés à Paris - une première dans ce format - pour tenter d'avancer ensemble, au moment où les négociations en vue d'un cessez-le-feu à l'initiative de Washington piétinent et où les Européens veulent imposer leur voix.
Le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio avait dit avoir présenté le plan de Washington pour mettre fin à la guerre mais la rencontre n'avait abouti à aucune avancée majeure.
Il en avait aussi fait part à son homologue russe Sergueï Lavrov lors d'un échange téléphonique.
L'administration Trump n'a livré aucun détail de ce plan publiquement mais, selon des médias américains citant des sources anonymes, il prévoirait notamment une reconnaissance plus ou moins formelle du contrôle de la Russie sur la Crimée, annexée par Moscou en 2014.
- Opération "marketing" -
A l'issue des discussions à Paris, le chef de la diplomatie américaine avait brandi la menace de la sortie de Washington des pourparlers si les Etats-Unis venaient à établir que la paix "n'est pas possible" entre les belligérants.
Il n'y a "pas un nombre précis de jours, mais nous voulons régler ça rapidement", avait pour sa part déclaré vendredi Donald Trump.
La cheffe de la diplomatie européenne Kaja Kallas a cependant estimé mardi dans un entretien avec l'AFP que les Etats-Unis n'avaient pas utilisé "tous les outils" à leur disposition pour faire pression sur la Russie.
A Londres mercredi, les discussions se tiennent sous les auspices du ministre britannique des Affaires étrangères David Lammy.
Kiev sera représentée par le chef de l'administration présidentielle Andriï Iermak, le chef de la diplomatie Andriï Sybiga ainsi que le ministre de la Défense Roustem Oumerov, selon des médias ukrainiens.
Côté américain, c'est l'émissaire spécial pour l'Ukraine, le général Keith Kellogg, qui participera aux discussions. La France est représentée par Emmanuel Bonne, le conseiller diplomatique du président Emmanuel Macron.
Le président ukrainien avait dit lundi espérer obtenir un "cessez-le-feu sans conditions" et vouloir "une réponse claire" de la Russie à sa proposition concernant une nouvelle trêve dans les attaques contre les infrastructures civiles, après que Vladimir Poutine a indiqué vouloir "analyser" cette offre.
La trêve de Pâques, décrétée par Moscou mais qui n'a pas donné lieu à une cessation des hostilités en Ukraine, "était une opération marketing" afin d'"éviter que le président Trump ne s'impatiente", a estimé mardi le ministre français des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot.
En mars, Donald Trump avait initialement proposé un cessez-le-feu inconditionnel et complet, dont le principe avait été accepté par Kiev sous la pression de Washington mais écarté par le président russe.
P.Staeheli--VB