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Reçu royalement à Ryad, Trump décroche de gros contrats et lève les sanctions visant la Syrie
Donald Trump et le prince héritier saoudien ont affiché une amitié éclatante en Arabie saoudite, où le président américain a décroché des contrats colossaux et concédé des gestes diplomatiques, au premier rang desquels la levée des sanctions américaines visant la Syrie.
Reçu avec tous les égards à Ryad, le président républicain, accompagné de plusieurs grands patrons dont son allié Elon Musk, a signé mardi avec le prince héritier Mohammed ben Salmane un "partenariat économique stratégique".
L'exécutif américain a estimé le montant revenant aux Etats-Unis à 600 milliards de dollars.
Fidèle à son approche diplomatique transactionnelle, Donald Trump, a créé la surprise en annonçant la levée des sanctions américaines contre la Syrie, à la veille d'une rencontre, même brève, avec le président Ahmad al-Chareh en Arabie saoudite.
"Je vais ordonner l'arrêt des sanctions contre la Syrie pour leur donner une chance de grandeur", a dit le président américain, en indiquant être parvenu à cette décision après des demandes pressantes de son hôte, Mohammed ben Salmane. Damas s'est félicité d'un "tournant décisif".
Le prince héritier saoudien a réservé au milliardaire républicain de 78 ans, sensible à la pompe protocolaire, un accueil sur mesure, avec escorte d'avions de combat, garde à cheval et fastes royaux.
La cordialité évidente entre les deux hommes, que l'on a vu deviser avec animation et force sourires, a marqué la journée
"Je pense vraiment que nous nous apprécions beaucoup", a insisté Donald Trump.
Alors que Ryad martèle qu'aucun progrès n'est envisageable sans l'établissement d'un Etat palestinien, le président a dit avoir "l'espoir fervent" que l'Arabie saoudite normalise ses relations avec Israël dans le cadre dit des "accords d'Abraham".
"Mais vous le ferez à votre propre rythme" a-t-il ajouté prudemment.
- "Pression maximale" -
Concernant l'Iran, Donald Trump s'est dit prêt à exercer "une pression maximale" si Téhéran refuse "le rameau d'olivier" qu'il estime lui tendre avec les discussions pour un accord sur le nucléaire iranien.
Dans le même temps, il a dit vouloir offrir une "nouvelle voie" aux dirigeants iraniens, en ajoutant: "je n'ai jamais été favorable à avoir des ennemis perpétuels".
La tournée du président américain doit ensuite l'emmener au Qatar puis aux Emirats arabes unis.
Si l'on excepte un aller-retour à Rome pour les funérailles du pape François, il s'agit du premier déplacement majeur à l'étranger depuis le début du second mandat.
Huit ans plus tôt, Donald Trump avait déjà choisi le royaume saoudien pour son premier voyage international.
La décision de faire passer à nouveau les riches monarchies pétrolières et gazières du Golfe avant ses alliés occidentaux reflète leur rôle géopolitique croissant et leur immense potentiel économique.
Parmi les contrats annoncés mardi, l'Arabie saoudite doit, selon un communiqué américain, acheter pour 142 milliards de dollars d'équipements militaires "de pointe".
La Maison Blanche a aussi annoncé des accords dans l'intelligence articicielle, les technologies et l'énergie.
- Cadeau qatari -
L'enjeu pour les pays du Golfe est de s'assurer le soutien d'un président impulsif, qui prône un désengagement militaire et stratégique des Etats-Unis, en dehors des environs géographiques immédiats de la première puissance mondiale.
Venu pour faire des "deals", son activité favorite, Donald Trump n'a donc pas pu éviter les sujets brûlants, comme Gaza.
Sans guère plus évoquer son projet de développement immobilier du territoire par les Américains, il eu un message pour les Palestiniens, qui selon lui "méritent un meilleur avenir mais cela ne pourra pas avoir lieu tant que leurs dirigeants choisissent de kidnapper, torturer et viser" des innocents.
Le président américain s'est entretenu mardi avec Edan Alexander, libéré la veille par le mouvement islamiste palestinien Hamas.
Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a lui prévenu mardi que l'armée israélienne entrerait "avec toute (sa) force" dans la bande de Gaza dans les jours à venir.
Mercredi, l'étape qatarie de Donald Trump s'annonce sûrement aussi chaleureuse, mais compliquée par un scandale politique.
L'opposition démocrate aux Etats-Unis lui reproche d'avoir accepté "le plus gros pot-de-vin étranger de l'histoire récente".
La famille royale du Qatar a offert à Donald Trump un Boeing 747-8 pour remplacer au moins provisoirement son , et pour l'utiliser après son mandat.
Le président américain a répliqué que l'avion était un "cadeau temporaire".
M.Schneider--VB