
-
Juillet 2025 sur le podium des mois de juillet les plus chauds sur la planète
-
Sous pression de l'opinion, le Conseil constitutionnel se prononce sur la loi Duplomb
-
Conflit en Ukraine: Trump prêt à rencontrer Poutine "très bientôt"
-
Ligue des champions: Benfica s'impose à Nice (2-0) et prend une belle option
-
Trump fait passer à 50% les droits de douane pour l'Inde, avant une hausse générale
-
Wall Street portée par Apple, les nouveaux droits de douane en ligne de mire
-
Trump prêt à rencontrer Poutine, potentiellement dès la semaine prochaine
-
Foot: Son Heung-min, nouvel astre de Los Angeles
-
Six millions de comptes clients Bouygues Telecom touchés par une cyberattaque
-
La chaîne Claire's en faillite aux Etats-Unis et dans plusieurs pays
-
A six mois des JO-2026, les médailles du biathlon français se préparent à ski-roues
-
Sud de l'Espagne: l'incendie de Tarifa "stabilisé", retour des vacanciers évacués
-
"C'est une photo de Gaza ?" : l'IA trompeuse pour vérifier des images
-
ONG du prince Harry : le conflit se poursuit après les conclusions du régulateur des associations
-
Liban: le Hezbollah rejette la décision du gouvernement de le désarmer
-
Après le Brésil, l'Inde également cible de 50% de droits de douane par Donald Trump
-
Le prince Harry dédouané d'accusations de harcèlement dans son ONG, mais remonté contre sa présidente
-
La présidente suisse à Washington pour des discussions d'urgence sur les droits de douane
-
Le plus gros incendie de l'été parcourt 16.000 hectares dans l'Aude
-
Plastic Odyssey, un bateau contre les plastiques
-
Wall Street ouvre en hausse, les résultats d'entreprises en ligne de mire
-
Catastrophes naturelles: les incendies de Los Angeles font gonfler les pertes économiques
-
Le plus gros incendie de l'été parcourt 15.000 hectares dans l'Aude
-
Ligue 1: Paul Pogba, l'inexorable lutte contre le temps
-
La répression des fraudes inflige 3,9 millions d'euros d'amende à Fnac Darty, le groupe "contestera"
-
Au Turkménistan, l'heure de refermer les polluantes "portes de l'Enfer"
-
L'armée israélienne sommée "d'exécuter" les prochaines décisions sur Gaza
-
Inde: plus de 50 disparus après une crue subite dans l'Himalaya
-
L'émissaire de Trump reçu par Poutine pour des discussions de la dernière chance sur l'Ukraine
-
Catastrophes naturelles: les incendies de Los Angeles font gonfler pertes économiques au 1S
-
Mannequins trop maigres: Zara épinglé au Royaume-Uni
-
Pologne: Karol Nawrocki, un historien nationaliste investi président
-
Les Etats-Unis annulent leur financement de plusieurs vaccins à ARN messager
-
La reconstruction de Marioupol, au doigt et à l'oeil de Moscou
-
Inde: l'armée recherche une centaine de personnes après une crue subite dans l'Himalaya
-
La compagnie aérienne Cathay Pacific commande 14 Boeing 777
-
Ligue des champions: Nice, l'Everest Benfica pour commencer
-
Dans les monts de Macédoine du Nord, la bataille pour l'une des dernières rivières propres
-
Incendie dans l'Aude: 10.000 hectares parcourus, un blessé grave, axe France-Espagne fermée
-
Un immense yacht saisi par les Etats-Unis à un oligarque russe mis aux enchères
-
L'émissaire de Trump à Moscou pour des discussions de la dernière chance sur l'Ukraine
-
L'historien conservateur Karol Nawrocki investi président de la Pologne
-
Hiroshima, 80 ans après la bombe, appelle le monde à abandonner l'arme nucléaire
-
Incendie dans l'Aude: 10.000 hectares détruits, neuf blessés, l'A9 fermée
-
eIncendie dans l'Aude: 10.000 hectares parcourus, un blessé grave, axe France-Espagne fermée
-
Dans l'Aude, le plus gros incendie de l'été fait un blessé grave et oblige à fermer l'A9
-
Le Brésil premier pays concerné par la hausse des droits de douane, l'Inde dans le collimateur
-
Ukraine: l'émissaire de Trump à Moscou mercredi pour des discussions de la dernière chance
-
Dans l'Aude, le plus gros incendie de l'été, un blessé grave et des maisons brûlées
-
Wall Street fait une pause, entre indicateurs et guerre commerciale

Iran: le Conseil suprême du cyberespace vote pour la levée de l'interdiction de WhatsApp
Le Conseil suprême du cyberespace iranien, instance en charge de la régulation de l'Internet et du cyberespace dans le pays, a voté mardi la levée de l'interdiction frappant l'application de messagerie WhatsApp, en vigueur depuis plus de deux ans.
"L'interdiction de WhatsApp et de Google Play a été levée par un vote unanime des membres du Conseil suprême du cyberespace", a rapporté l'agence de presse officielle Irna.
"Il s'agit de la première étape du plan visant à lever les restrictions", a précisé l'agence.
Le ministre des Communications, Sattar Hashemi, a salué sur le réseau X un "premier pas vers la levée des restrictions sur l'Internet avec (...) consensus".
L'Iran a bloqué Instagram et WhatsApp après les manifestations déclenchées en 2022 par la mort en détention de Mahsa Amini, une jeune femme arrêtée pour avoir enfreint le code vestimentaire strict de la République islamique. Il s'agissait alors des applications les plus utilisées depuis l'interdiction de Youtube, Facebook, Telegram, Twitter et Tiktok.
Ces interdictions ont alimenté la polémique en Iran, leurs détracteurs arguant qu'elles étaient coûteuses pour le pays.
"Les restrictions n'ont rien apporté d'autre que de la colère et des coûts supplémentaires pour les citoyens", a estimé mardi sur X un conseiller présidentiel, Ali Rabiei.
"Le président Massoud Pezeshkian croit en la suppression des restrictions et ne considère pas que les interdictions soient dans l'intérêt du peuple et du pays", a affirmé de son côté Mohammad Javad Zarif, le vice-président iranien chargé des affaires stratégiques.
- Respect des "valeurs" islamiques -
D'autres ont toutefois émis des réserves quant à la levée des restrictions.
Le quotidien réformateur Shargh a ainsi indiqué mardi que 136 députés sur les 290 membres du Parlement avaient adressé une lettre au Conseil pour dénoncer cette mesure, un "cadeau aux ennemis" de l'Iran.
D'après le journal, les députés ont exigé que l'accès aux plateformes en ligne restreintes ne soit autorisé que "si elles sont attachées aux valeurs de la société islamique et respectent les lois de l'Iran".
Le président Massoud Pezeshkian, qui a pris ses fonctions en juillet, s'était engagé, lors de sa campagne, à assouplir les restrictions sur l'utilisation d'Internet, en place depuis de nombreuses années.
En mars, un ministre iranien avait annoncé que le gouvernement autoriserait des plateformes internationales à travailler dans le pays si elles acceptaient d'y ouvrir des bureaux de représentation.
Meta, le géant américain propriétaire de Facebook, Instagram et WhatsApp, a répondu qu'il n'avait pas l'intention de s'installer en Iran, pays soumis à un sévère régime de sanctions par les Etats-Unis.
Face aux limitations imposées à Internet, de nombreux Iraniens ont pris l'habitude d'utiliser des réseaux privés virtuels (VPN) pour contourner les restrictions.
D'autres plateformes populaires, comme Facebook, X et YouTube, restent bloquées depuis 2009, et l'application de messagerie instantanée Telegram a été interdite par une décision de justice en avril 2018.
Pour tenter de remplacer les services étrangers, l'Iran a développé au fil des ans ses propres applications.
Pour la navigation, les utilisateurs disposent de "Neshan" et "Balad", tandis que pour le covoiturage, ils peuvent se tourner vers "Snapp!" ou "Tapsi". En matière de messagerie, des applications locales telles que "Bale", "Ita", "Rubika" et "Soroush" ont vu le jour, offrant également des fonctionnalités d'appel.
R.Flueckiger--VB