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Le chef de la diplomatie iranienne attendu à Moscou avant des pourparlers Iran/Etats-Unis à Rome
Le ministre iranien des Affaires étrangères Abbas Araghchi se rendra dans les prochains jours à Moscou pour aborder la question des pourparlers entre l'Iran et les Etats-Unis, avant un nouveau cycle de discussions avec Washington prévu samedi à Rome.
L'Iran et les Etats-Unis, qui n'ont plus de relations diplomatiques depuis 1980, ont échangé samedi dernier sous la médiation du sultanat d'Oman sur l'épineuse question du nucléaire iranien.
Les pays occidentaux, Etats-Unis en tête, soupçonnent de longue date l'Iran de vouloir se doter de l'arme nucléaire. Téhéran rejette ces allégations et défend un droit au nucléaire à des fins civiles, notamment pour l'énergie.
L'Iran et les Etats-Unis sont convenus de poursuivre les pourparlers le 19 avril.
Ils se tiendront à Rome en Italie, selon le ministre néerlandais des Affaires étrangères, Caspar Veldkamp, interrogé lors d'une réunion de l'Union européenne.
"La seconde session de discussions indirectes entre l'Iran et les Etats-Unis est prévue samedi dans la capitale italienne", ont confirmé à l'AFP deux sources diplomatiques basées à Rome.
Avant ce nouveau cycle de pourparlers, le chef de la diplomatie iranienne se rendra à Moscou.
"Je tiens à préciser qu'il s'agit d'un déplacement qui était déjà prévu", a indiqué lundi le porte-parole de la diplomatie iranienne, Esmaïl Baghaï, ajoutant lors d'un point presse que cette visite "en fin de semaine" serait "l'occasion d'aborder les derniers développements liés aux négociations".
- Représailles -
La Russie est l'un des membres d'un accord international sur le nucléaire conclu avec l'Iran en 2015, mais aujourd'hui caduc depuis la décision des Etats-Unis de s'en retirer en 2018.
La France, le Royaume-Uni, la Chine et l'Allemagne font également partie du pacte.
Le texte prévoyait la levée de certaines sanctions internationales visant l'Iran en échange d'un encadrement de son programme nucléaire par l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA).
Selon l'AIEA, l'Iran respectait ses engagements.
En 2018, Donald Trump a retiré unilatéralement son pays de l'accord et rétabli des sanctions.
En représailles, l'Iran est depuis progressivement revenu sur ses engagements.
Le pays a ainsi augmenté le nombre et la performance de ses centrifugeuses, ces machines utilisées pour enrichir l'uranium, afin de produire davantage, mieux et plus vite sur ses sites de Natanz et Fordo (centre).
- "Lignes rouges" -
La décision de Donald Trump de se retirer de l'accord avait en partie été motivée par l'absence de mesures contre le programme balistique de Téhéran, perçu comme une menace pour son allié israélien.
"Le seul sujet des discussions sera le nucléaire et la levée des sanctions", a assuré dimanche Esmaïl Baghaï à la télévision d'Etat.
L'influence régionale de l'Iran et ses capacités en matière de missiles figurent parmi "les lignes rouges" de l'Iran, a pour sa part averti l'agence iranienne Irna.
L'Iran est le seul Etat non doté d'armes nucléaires à enrichir de l'uranium à un niveau élevé (60%), tout en continuant à accumuler d'importants stocks de matière fissile, selon l'AIEA.
Un seuil de 90% permet de fabriquer une arme atomique, selon le gendarme onusien du nucléaire. L'accord de 2015 plafonnait ce taux à 3,67%.
Au moment où l'Iran multiplie les initiatives diplomatiques, le chef de l'AIEA, Rafael Grossi, a annoncé lundi sur le réseau social X une visite dans le pays "plus tard cette semaine".
Selon une source diplomatique contactée par l'AFP, le déplacement est prévu jeudi.
Sa précédente visite en Iran remonte à novembre. Il s'était alors rendu sur les sites nucléaires de Natanz et Fordo.
A.Kunz--VB