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Procès Kardashian: les peines des "papys braqueurs" sont définitives
Les peines des "papys braqueurs" de la superstar américaine Kim Kardashian sont définitives, ni les condamnés ni le parquet général n'ayant fait appel, a appris l'AFP mardi matin auprès de ce dernier.
Le délai d'appel a expiré lundi soir et aucun des huit condamnés n'a formé de recours. L'accusation avait annoncé lundi son intention de ne pas faire appel, y compris des deux acquittements prononcés le 23 mai par la cour d'assises.
Après quatre semaines d'audience, la cour a prononcé des peines clémentes contre les accusés, évitant un retour en prison à ces hommes reconnus coupables de ce braquage record à 9 millions d'euros de bijoux qui s'est déroulé à Paris dans la nuit du 2 au 3 octobre 2016 pendant la Fashion Week.
Les sanctions sont bien en deçà de celles requises par l'avocate générale qui avait réclamé 10 ans de prison pour les principaux accusés, dont deux pour être entrés arme au poing dans l'hôtel parisien de la reine des influenceuses, qui avait été ligotée et bâillonnée.
"Elles ont été pensées à distance de cet événement grave", en prenant en considération "le temps écoulé" - neuf ans - et l'état de santé des principaux protagonistes qui "interdit éthiquement d'incarcérer quiconque", a expliqué le président David de Pas.
Quatre hommes ont été reconnus coupables d'avoir braqué et séquestré la femme d'affaires américaine - qui a aujourd'hui 356 millions d'abonnés. Le principal, Aomar Aït Khedache, 69 ans, a été condamné à huit ans de prison dont cinq avec sursis.
Pour les trois ans de prison ferme, la cour a ordonné une confusion avec une autre peine, ce qui signifie qu'il ne retournera pas en prison.
Les trois autres "opérationnels" du braquage ont écopé de sept ans de prison dont deux ferme. Le fils d'Aomar Aït Khedache et son ancienne compagne se sont vu infliger respectivement un an ferme et quatre ans avec sursis, quand les deux derniers accusés ont été condamnés pour des délits connexes.
Kim Kardashian s'est immédiatement dite "satisfaite" du verdict tout en déclarant vouloir "tourner la page". Le 13 mai, elle avait dit à la barre avoir "cru mourir" ce jour-là, mais aussi accepté les excuses d'Aomar Aït Khedache.
"Je vous pardonne" même si "ça ne change rien au traumatisme". "Je crois à la deuxième chance", lui avait dit, émue, celle qui a annoncé avoir obtenu son diplôme de droit presque le jour du verdict.
G.Haefliger--VB