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Trump va désigner un colistier au premier jour d'une convention sous haute tension
Donald Trump va annoncer lundi son colistier pour la campagne électorale au premier jour d'une convention républicaine historique à Milwaukee, bouleversée par la tentative d'assassinat de l'ancien président.
Déjà arrivé dans l'ancienne ville industrielle donnant sur le lac Michigan, l'ex-homme d'affaires de 78 ans sera très probablement accueilli avec une ferveur renouvelée par des dizaines de milliers de partisans qui ont failli perdre leur héros samedi.
Des milliers de policiers sont déployés dans les rues. "S'ils ne sont pas anxieux, alors moi non plus", confie à l'AFP Tim Hawkins, 57 ans, venu de l'autre bout du pays.
Le lieu choisi pour la convention est un immense complexe sportif, dont les murs sont recouverts de grandes photographies à la gloire du 45e président des Etats-Unis, qui veut être aussi le 47e.
- Le colistier mystère -
Le premier temps fort de la convention républicaine à Milwaukee viendra dès ce lundi, avec l'annonce de la personne choisie par Donald Trump pour être son futur vice-président, s'il remporte l'élection le 5 novembre.
"Il a confirmé qu'il choisirait son candidat au poste de vice-président aujourd'hui", a indiqué lundi le présentateur vedette de Fox News, Bret Baier, après avoir échangé avec Donald Trump.
Trois noms reviennent en boucle.
Celui de l'auteur à succès devenu élu du Congrès, J.D. Vance; du gouverneur du Dakota du Nord, Doug Burgum; et de l'influent sénateur latino de Floride Marco Rubio.
A moins que Donald Trump, friand des coups de théâtre en politique, n'annonce un profil complètement inattendu.
Le colistier du milliardaire prononcera un discours mercredi soir dans la salle principale de la convention, tapissée de rouge.
Les thèmes majeurs de la convention seront le pouvoir d'achat, l'immigration, la criminalité et la sécurité garantie par une Amérique forte.
Son mot d'ordre: "Rendre à nouveau à l'Amérique sa grandeur", un slogan en clin d'oeil à celui de Donald Trump en 2016.
Mais le point culminant de cet événement institutionnel et festif interviendra jeudi, quand Donald Trump sera désigné candidat officiel des républicains à l'élection.
Son sacre ne fait plus le moindre doute, formalisé lors d'une soirée spectaculaire, ponctuée par le lâcher de 100.000 ballons rouges, blancs, et bleus.
Le septuagénaire républicain garde son emploi du temps extrêmement discret, sécurité oblige.
- "Je devrais être mort" -
Car l'image que tout le monde a en tête, et qui a fait le tour du monde, c'est celle d'un Donald Trump à l'oreille ensanglantée, le poing brandi, évacué de façon précipitée par ses gardes du corps d'un meeting de campagne en Pennsylvanie.
"Je ne devrais pas être ici, je devrais être mort", a affirmé l'ancien président dans un entretien à bord de son avion vers Milwaukee accordé dimanche au New York Post.
Cet attentat a choqué une société américaine de plus en plus polarisée, ulcérant les plus radicaux des militants trumpistes, qui accusent ouvertement les démocrates d'en porter la responsabilité.
- Sécurité -
Avec ses plus de 50.000 participants, l'événement promettait déjà d'être un événement ultra sécurisé.
Des périmètres entiers du centre-ville sont clôturés par de grandes grilles métalliques et quadrillés par des agents du Secret Service, la police d'élite qui fait l'objet de vives critiques pour ne pas avoir bien protégé Donald Trump lors de son meeting en plein air samedi.
Mais le dense programme de la convention est maintenu. "En dehors de mesures de sécurité renforcées hors du périmètre, il n'y aura pas un seul changement au planning", déclare à l'AFP David Bossie, un proche de Donald Trump qui co-préside la convention.
"Il s'agit d'une production de quatre grandes soirées télévisées en prime time dont nous sommes extrêmement fiers, que nous n'allons pas modifier à cause d'un événement tragique", ajoute-t-il.
Chamboulant son emploi du temps, le président Joe Biden s'est lui employé à faire retomber la tension durant ce week-end qui marquera le pays.
"Il n'y a pas de place pour ce genre de violence en Amérique", a notamment déclaré le démocrate de 81 ans, avant d'appeler la nation à "s'unir".
L'attentat perpétré contre Donald Trump pourrait être bénéfique pour le républicain sur le plan électoral, estiment des experts.
Ils relèvent en contraste combien Joe Biden est actuellement fragilisé par les questions sur son acuité mentale, avec des élus de son propre parti qui l'appellent à se retirer.
Pour Martin Kutlzer, résident de Milwaukee et sympathisant républicain, nul doute: la course pour la Maison Blanche est "pliée".
"Donald Trump va gagner, parce qu'on a toujours tendance à se rassembler autour de ceux qui ont été touchés", clame fièrement le sexagénaire à l'AFP.
F.Stadler--VB